Tarah Wheeler a rejoint le conseil consultatif de la Electronic Frontier Foundation (EFF). Dans son nouveau rôle, l’expert politique et chercheur en sécurité offrira une expertise sur une variété de sujets différents, y compris la confidentialité des données, la diversité et l’avenir de la cybersécurité.

L'Eff Ajoute Tarah Wheeler Au Conseil Consultatif

Wheeler est un vétéran de longue date de l’industrie de la cybersécurité. Sa carrière comprend des arrêts précédents chez Symantec Website Security, où elle a été directrice principale de l’ingénierie et principale avocate de la sécurité, et chez Splunk, où elle a occupé le poste de responsable de la sécurité offensive et de la confidentialité des données. Elle a également fondé le cabinet de conseil en sécurité Red Queen Technologies et conçu des systèmes mobiles cryptés pour Silent Circle.

Peu de temps avant de rejoindre le conseil consultatif de l’EFF, Wheeler a reçu le US / UK Fulbright Cyber ​​Security Scholar Award, et elle mènera bientôt des recherches pour aider à définir une définition des crimes de guerre cybernétique. Cette recherche sera menée à l’Université d’Oxford en collaboration avec le UK National Health Service (NHS).

En plus de ces réalisations, Wheeler est chercheur en sécurité internationale au New America’s International Security Program et auteur principal du best-seller 2016 Women in Tech: faites passer votre carrière au niveau supérieur avec des conseils pratiques et des histoires inspirantes.

L’EFF lui-même a continué à défendre les droits des personnes à la vie privée numérique pendant la pandémie COVID-19. L’organisation a mis en garde contre la nombre croissant d’attaques de phishing dans les premiers jours de la crise, et a souligné que toutes les mesures de surveillance utilisées pour suivre la propagation du virus devraient toujours répondre à des normes politiques rigoureuses et être déployées avec le respect des libertés civiles des personnes. À cet égard, l’EFF s’est récemment opposé à un projet de loi californien qui aurait permis à l’État d’utiliser la reconnaissance faciale pour surveiller le virus, en grande partie parce que le projet de loi ne disposait pas de garanties suffisantes pour empêcher l’abus d’un tel système.

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