Ubuntu Pro arrive sur Google Cloud, rempli d’un engagement de maintenance très important de 10 ans pour les parieurs d’entreprise qui aiment les choses stables.

Alors que Ubuntu de Canonical n’est guère nouveau dans le cloud de Google, l’édition Pro rejoint d’autres favoris des entreprises dans la catégorie premium, tels que Red Hat Enterprise Linux et SUSE Linux Enterprise Server.

La longue fenêtre d’assistance est basée au moins en partie sur le programme de maintenance de sécurité étendue (ESM) de Canonical. ESM signifie huit ans pour Ubuntu 16.04 LTS (jusqu’en 2024), 10 ans pour 18.04 LTS (jusqu’en 2028) et un support jusqu’en 2030 pour 20.04 LTS.

Pendant la période d’assistance, les clients payant pour Ubuntu Pro sur Google Cloud bénéficieront d’un correctif du noyau en direct ainsi que des correctifs des CVE élevés et critiques pour le référentiel d’Ubuntu (qui comprend Node.js, MongoDB et Apache Kafka).

Les marchandises de Canonical peuvent être trouvées dans une variété de nuages ​​; Ubuntu Pro (avec 10 ans de support pour les éditions LTS récentes et les correctifs de noyau en direct) est disponible sur Azure de Microsoft et AWS avec des composants certifiés FIPS 140-2 et Common Criteria EAL2. Ce dernier ne devrait arriver sur Google Cloud qu’au second semestre 2021.

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Le duo estime que « Ubuntu Pro représentera 3 à 4,5% de votre coût informatique moyen ». Des économies similaires sont également réclamées pour Azure, qui déclare : « La tarification d’Ubuntu Pro suit le coût de calcul sous-jacent, commençant à moins de 0,01 $ pour le plus petit type d’instance B1 ls, et descendant à moins de 1 % du calcul horaire.

Comme pour tous les chiffres « moyens », votre kilométrage peut varier considérablement.

Pour Google Cloud, les frais sont basés sur le coût de la licence pour la RAM par Go par heure, plus pour le vCPU par heure et par GPU par heure (si ce dernier est utilisé.) La RAM pèse à un taux forfaitaire de 0,000127 $ par Go/heure. tandis que le CPU et le GPU sont sur une échelle mobile en fonction de la quantité.

Le coût s’ajoute au coût régulier de fonctionnement de la VM, ce qui signifie que certains calculs seront nécessaires pour éviter une facture alarmante à la fin du mois. ®

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Violette Laurent est une blogueuse tech nantaise diplômée en communication de masse et douée pour l'écriture. Elle est la rédactrice en chef de fr.techtribune.net. Les sujets de prédilection de Violette sont la technologie et la cryptographie. Elle est également une grande fan d'Anime et de Manga.

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