PRÊT CHANTEUR UN
Le nouveau film BELLE a tous les ingrédients pour être un désastre désordonné : c’est un anime avec une romance au lycée ; c’est l’histoire d’un Prêt joueur unmonde de réalité virtuelle -esque ; c’est une comédie musicale sur une fille timide et en deuil qui devient une pop star de la réalité virtuelle ; c’est en partie une réinvention de La belle et la Bête. Le fait que tout se réunisse en fait un régal cinématographique, l’un des meilleurs films de 2021. Avec une animation vive et un noyau émotionnel qui lutte contre la perte, les traumatismes familiaux et les aspects toxiques des médias sociaux, il équilibre le magique et le vrai merci à la touche habile du réalisateur/scénariste Mamour Hosoda. Ai-je mentionné qu’il y a aussi des danseurs de sauvegarde de baleines volantes? Ils gouvernent. Tandis que Belle obtient une courte diffusion théâtrale en ce moment, j’espère qu’il gagnera une nomination aux Oscars du meilleur long métrage d’animation afin qu’il puisse attirer un public plus large. (SETH SOMMERFELD)
COUPS DE GRUE ET MISFITS
Une des choses sur lesquelles vous comptez COBRA KAIest la conscience de soi. Comme dans, le redémarrage du film pour adolescents des années 80 Karate Kid sait à quel point certains de ses mouvements sont ringards et les reconnaît généralement avec un clin d’œil au public. La quatrième saison, maintenant diffusée sur Netflix, a quelques moments de ce genre, mais dans l’ensemble, elle n’a pas tout à fait le même punch que ses prédécesseurs. Le nouveau méchant est tiré de l’une des suites des années 80 que vous n’avez probablement pas vues, et lorsque d’autres saisons ont sélectionné une variété de montages hilarants de combats et d’entraînement de héros des années 80 comme Survivor, cette saison de Cobra Kaï essaie de faire son propre hymne – et pour une raison quelconque a choisi la star country Carrie Underwood pour le livrer? Comme dirait Johnny Lawrence, c’est tellement ne pas dur à cuire. (DAN NAILEN)
LA PLAYLIST DE CETTE SEMAINE
Nouvelle musique remarquable arrivant dans les magasins et en ligne le 28 janvier :
ALICE VERRE, PROIE//IV. Après avoir quitté Crystal Castles en raison d’abus présumés de la part de son compagnon de groupe, Alice Glass se lance sur sa propre voie musicale avec un premier album solo plein d’électro-pop envoûtante, sombre et glitch.
PINÈCHE, 11:11. Dans un monde plein de tristesse, 11:11 trouve le groupe de rock indépendant teinté de country Pinegrove essayant de se concentrer sur l’unité et la communauté plutôt que sur la colère.
ANAÏS MITCHELL, Anaïs Mitchell. Après des années passées à adapter son album de 2010 Hadesville dans une comédie musicale de Broadway primée par Tony, l’auteur-compositeur-interprète revient à ses racines folkloriques. (SETH SOMMERFELD)