La site Pernaut est tournée: nous avons suivi ce lundi 4 janvier le premier journal de 13h présenté par Marie-Sophie Lacarrau sur TF1, et celle de son désormais rival Julian Bugier sur France 2.
12h58, sur TF1. Un mot pour souhaiter la bonne année, puis un information additionally staff. « J’ai un souhait. J’espère nouer au additionally vite, avec vous, ces mêmes liens de confiance et de complicité que vous avez su développer avec Jean-Pierre Pernaut, depuis 33 ans », lance Marie-Sophie Lacarrau, chemisier vert émeraude, ouverture à 13 heures. « Très heureux », mais visiblement très stressé, le journaliste de 45 ans, transfuge de France Télévision s, a succédé à «JPP», qui a présenté son dernier bulletin d’information le 18 décembre.
Comme « on ne adjust pas d’habitudes », la priorité de la journée est: la météo. Et après la météo? La météo à nouveau, ou plutôt les chutes de neige inattendues à Uzès, dans le Gard. Suivi d’un micro-trottoir sur le moral des Français dans le Nord, le décompte avant les prochaines vacances, le couvre-feu à 18h dans 15 départements, et un sujet sur la campagne de vaccination contre Covid-19. Également abordés, «la problem catastrophique en Angleterre» et les hommages rendus aux soldats tués au Mali, ou encore l’agression subie par deux policiers en Seine-Saint-Denis.
En même temps sur France 2. Julian Bugier lance son leading journal d’une heure en tant que titulaire à la place de son ancienne collègue, Marie-Sophie Lacarrau, qui figurait en première web site. Le présentateur a dû composer avec une grève partielle de la rédaction, en faveur de l’élimination des quatre postes d’illustrateurs sonores. «Bonjour, c’est un grand plaisir d’ouvrir ces 13 Heures avec plein de nouvelles sections», start celui qui était sauvage depuis additionally de dix ans, et qui projette une «édition de proximité», sans un mot pour son ex-collègue, maintenant un rival.
A 13 heures précises, le jeune quadragénaire, vêtu d’un sobre costume bleu, ouvre le bal avec un reportage consacré à la campagne de vaccination sans aborder, donc, le passage du flambeau, ni son nouveau rôle. Puis il reprend brièvement la main, plutôt à l’aise, pour annoncer un reportage sur l’inquiétude du secteur de la restauration, comme TF1 le fera cinq minutes furthermore tard.
13h14, toujours sur France 2. Julian Bugier a promis beaucoup de nouvelles choses. Cela commence par la nouvelle segment de service «Derrière nos étiquettes». Cette première enquête «consommateur» est consacrée aux «packages à vie» proposés par des marques telles que SFR ou Cdiscount. Le journaliste Julien Duponchel dissèque ces offres en interviewant des spécialistes avant de s’exprimer sur le plateau face à Julian Bugier. Pendant quelques minutes, le journaliste distille des conseils pratiques pour éviter d’être dupé.
Bulletin La liste de nos envies
Nos coups de cœur pour le plaisir et la society.
13h19, sur TF1. Sourires sur scène. Marie-Sophie Lacarrau ouvre la web site «Opération SOS Village», conçue par son prédécesseur. A ses côtés, Dominique Lagrou-Sempère, est venu présenter l’histoire de la reprise d’un salon de hairstyle par Manon, 23 ans, dans le Puy-de-Dôme. Au comptoir, 9143 annonces pour sauver les petites entreprises partout en France. Et l’ancien complice de Pernaut, celui qu’il aurait vu lui succéder, évoquer la JPPTV et ajouter deal with à la caméra: « On salue Jean-Pierre ». « Oui, nous saluons Jean-Pierre », surenchérit sur le nouveau titulaire du poste, qui a grandi à Perpignan (Pyrénées-Orientales).
13h20, sur France 2. Julian Bugier, de Blois (Loir-et-Cher), lance «L’Initiative». Cette nouvelle portion satisfied en avant des idées originales de toute la France. Pour cette première, direction Sérifontaine dans l’Oise. Dans ce village, les habitants peuvent récupérer des pizzas, sans speak to, chez un distributeur. Un dispositif qui a permis à ce restaurateur d’augmenter ses ventes de 10% cette année, malgré la pandémie. «Plusieurs fois par semaine, nous rencontrerons ces Français qui ont des idées à partager. Demain, nous irons à Tonnerre dans l’Yonne », annonce Julian Bugier, de in addition en additionally à l’aise.
13h24, sur TF1. Put à la seconde partie de l’actualité, « plus précisément consacrée à l’actualité de nos régions »: inondations dans les Landes, tempête de verglas en Auvergne, ski de fond dans une petite station de Savoie, tombola des rois à Pornic et un legs d’un million d’euros à la ville de Vaiges, en Mayenne. Question pratique alors concernant les sapins de Noël: « Comment s’en débarrasser correctement? Réponse: en les nourrissant aux chèvres, ou en les recyclant pour faire du compost. Et méfiez-vous des mauvais citoyens: Marie-Sophie Lacarrau rappelle que cela coûte 150 euros les abandonner sur un trottoir.
13h29, sur France 2. De manière sobre et efficace, Julian Bugier jongle entre les sujets sans perdre son sourire. Le présentateur, qui se veut «ami» avec les téléspectateurs, joue pleinement la carte de la proximité avec des sujets qui concernent les téléspectateurs ou qui ont de fortes racines locales. Il poursuit cette actualité avec un peu de douceur avec un reportage sur les familles qui aiment les cartes de vœux, avant de se concentrer sur le défi de janvier sans alcool. Puis direction Val-Cenis, en Savoie. Le «feuilleton» des 13 Heures de la Deux nous emmène cette semaine à la montagne, où les touristes optent pour de nouvelles activités faute de remontée mécanique. Ici, pas du ski de fond comme sur TF1, mais de l’escalade sur glace illustrée par de superbes visuals.
13h38, sur France 2. «C’est la fin de ce journal réalisé dans des conditions particulières en raison d’un mouvement de grève de certains membres du personnel, glisse Julian Bugier. Merci beaucoup pour votre fidélité. (…) Passez une bonne journée. On se retrouve demain même endroit à la même heure! «
13h45, sur TF1. Un mot sur la Bourse, « à la hausse » et furthermore d’images de neige dans le Gard. «Nous y étions additionally tôt, nous y retournons. C’est tellement beau, s’émerveille Marie-Sophie Lacarrau, plus décontractée. Je te dis bon après-midi et à demain. «
Quelques hésitations et un ton parfois scolaire, mais dans l’ensemble, c’est un baptême du feu réussi pour celui qui vient de s’installer dans les chaussons de Pernaut. Mais pas facile d’oublier Jean-Pierre.