Les banques traditionnelles ne sont pas exactement connues pour adopter l’innovation – des difficultés liées à la réglementation de la crypto-monnaie aux vides comblés par les startups fintech, les grands acteurs sont beaucoup plus susceptibles d’adopter une approche conservatrice de l’argent et de retarder les nouvelles technologies longtemps après leur entrée. discours public.
Les banques exigent toujours des signatures lorsque les écoles (du moins certaines d’entre elles) n’enseignent plus l’écriture cursive. C’est une industrie coincée dans le passé qui semble souvent réticente ou incapable d’abandonner ces voies en faveur de quelque chose de plus moderne.
Il est alors encore plus surprenant qu’une banque d’investissement comme HSBC (HSBC) – Obtenir le rapport de HSBC Holdings Plcqui supervise plus de 3 000 milliards de dollars d’actifs, vient d’acheter un terrain virtuel dans le métaverse.
Qu’est-ce que l’immobilier virtuel et pourquoi HSBC l’achète-t-il ?
Largement considéré comme la prochaine itération d’Internet, le métaverse est une combinaison de réalité augmentée, de réalité virtuelle et de vidéo dans laquelle on se déplace à travers un avatar. Bien que le concept puisse sembler abstrait, certaines combinaisons de code sont divisées en « intrigues » dans le métaverse et sont actuellement récupérées rapidement par les particuliers et les entreprises.
Essentiellement des NFT sur la blockchain, ces parcelles de terrain virtuelles peuvent être utilisées pour tout, de l’organisation de réunions à la promotion d’une marque.
À l’heure actuelle, The Sandbox, Decentraland, Cryptovoxels et Somnium sont parmi les plateformes les plus courantes de vente de biens immobiliers virtuels. Selon les données de MetaMetric Solutions, les investisseurs ont dépensé plus de 501 millions de dollars sur ces parcelles en 2021.
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Alors que la demande d’immobilier virtuel augmente, HSBC est devenue la deuxième banque au monde à entrer dans le métaverse en achetant un terrain sur The Sandbox pour une somme non identifiée. JP Morgan avait acheté un espace sur Decentraland en février.
L’immobilier virtuel peut-il rapporter de l’argent réel ?
Comme l’entreprise l’a annoncé dans un communiqué de presse, HSBC prévoit d’utiliser son espace Sandbox pour tout, de la création d’une empreinte numérique aux sports, aux sports électroniques et aux jeux en « créant[ing innovative brand experiences for new and existing customers. »
That’s a sentence, but it’s not really saying much. The company added a little more:
« The metaverse is how people will experience Web3, the next generation of the Internet — using immersive technologies like augmented reality, virtual reality and extended reality, » Suresh Balaji, HSBC’s chief marketing officer for Asia-Pacific, said in a statement.
While the metaverse is still most commonly associated with gaming, it also represents a major revenue-generating opportunity as companies that are on there have an early start on marketing to these clients. Gucci, Adidas ADDDF, PwC, Chipotle CMG and rapper Snoop Dogg are among those who recently snapped up virtual land.
« We believe this is the beginning of a broader adoption of Web3 and the metaverse by institutions driving brand experiences and engagement within this new ecosystem, » Sebastien Borget, COO and co-founder of The Sandbox, said in a statement.
