Découvrez les preuves intrigantes que Jean-Marie Loret a trouvées pour prouver qu’il était bien le fils d’Adolf Hitler.
En juin 1917, Charlotte Lobjoie rencontre un soldat allemand.
Elle hachait du foin dans les champs de Fournes-en-Weppe, une petite ville à l’ouest de Lille, avec d’autres femmes lorsqu’elles remarqué un séduisant soldat allemand, debout de l’autre côté de la rue.
Il dessinait sur son carnet de croquis et a fait sensation parmi les demoiselles. Finalement, Charlotte a été désignée pour l’approcher. Elle était amoureuse de lui, même s’ils ne parlaient même pas la même langue.
Après un certain temps, les deux ont commencé une brève liaison, se promenant souvent dans la campagne et se livrant à des boissons ensemble la nuit. Charlotte se souviendra plus tard que le soldat avait un tempérament, déclamant souvent en allemand sur des choses qui le dérangeaient.
Finalement, l’affaire prend fin, car le soldat doit regagner les tranchées de Seboncourt. Peu de temps après son départ, Charlotte s’est rendu compte qu’elle était enceinte.
Bien que ce ne soit pas si inhabituel, car de nombreux enfants en France à l’époque étaient le produit de relations de mères françaises avec des soldats allemands en congé, Charlotte avait honte d’être enceinte hors mariage. Quand l’enfant est né, elle l’a nommé Jean-Marie, et l’a finalement donné en adoption à une famille appelée Loret.
Elle n’a jamais parlé du père de son bébé, laissant seulement entendre qu’il avait été un soldat allemand.
Ce n’est que sur son lit de mort qu’elle révélera qui était le vrai père de Jean-Marie, un jeune soldat allemand sans prétention nommé Adolf Hitler.
Ironiquement, pendant la Seconde Guerre mondiale, Jean-Marie Loret avait rejoint la résistance, combattant les Allemands en 1939 et défendant la ligne Maginot avant l’invasion nazie. Il a même rejoint la Résistance française et a reçu le nom de code « Clément ».
Traqué par la nouvelle de l’identité de son père, Jean-Marie s’est plongé dans l’histoire de l’affaire de sa mère, déterminé à trouver des preuves d’une manière ou d’une autre pour voir s’il était, en fait, le fils d’Hitler. À partir des années 1950, il a même embauché des scientifiques pour savoir si lui et Hitler avaient partagé le même groupe sanguin, et des experts en écriture pour voir à quel point la calligraphie des deux était similaire.
Du côté d’Hitler, il y avait moins de corroboration. Il n’y a aucune preuve qu’Hitler ait jamais su qu’il avait un enfant. Il n’a jamais mentionné connaître l’existence de Jean-Marie, et il a en fait carrément nié avoir des enfants à plusieurs reprises.
Cependant, des rumeurs circulaient encore. Surtout après la Seconde Guerre mondiale, les gens craignaient qu’un enfant d’Hitler puisse potentiellement suivre les traces du Führer et, en tant que tels, étaient terrifiés à l’idée qu’il en existe un. Certaines personnes pensaient qu’un enfant se cachait et d’autres pensaient qu’Hitler lui-même en avait caché un.
Le valet de chambre d’Hitler, Heinz Linge, a même déclaré une fois qu’il avait entendu Hitler exprimer la conviction qu’il avait un enfant, bien que ce rapport, comme les autres, n’ait pas été étayé.
Malgré de nombreux doutes, Jean-Marie Loret a écrit une autobiographie avant sa mort en 1985, intitulée Le nom de ton père était Hitler dans lequel il décrit la découverte de l’identité de son père et la lutte pour prouver qu’il était le fils d’Hitler. Il allègue même qu’Hitler le connaissait et a tenté de détruire toutes les preuves de son existence. Il affirme également qu’Hitler l’a fait nommer chargé de mission au sein de l’armée française afin de le faire tuer.
Cependant, la seule preuve concrète trouvée par Jean-Marie Loret suggérant qu’il était en fait le fils d’Hitler était minime. Il a découvert que lui et Hitler étaient du même groupe sanguin et que visuellement les deux étaient étonnamment similaires.
Ce n’est qu’après la mort de Jean-Marie que de nouvelles preuves dans l’affaire du fils d’Hitler seront découvertes.
Un document militaire officiel, originaire de la Wehrmacht, l’armée allemande, a révélé que des enveloppes d’argent liquide avaient été remises par des soldats allemands à Charlotte Lobjoie pendant l’occupation allemande de la France.
Cet argent envoyé pourrait être la preuve qu’Hitler est resté en contact avec Charlotte après l’avoir quittée. Des peintures ont été découvertes dans le grenier de Charlotte qui ont été signées par Hitler. Il y avait aussi un tableau trouvé avec Hitler en Allemagne qui ressemblait beaucoup à Charlotte, bien qu’il ne soit pas certain que ce soit vraiment elle.
Depuis que la nouvelle preuve a été révélée Le nom de ton père était Hitler doit être réédité pour contenir les nouvelles preuves.
Après la mort de Jean-Marie Loret, ses enfants ont cessé de poursuivre la question. L’avocat de Jean-Marie a souligné que si les enfants prouvaient leur lignée, ils seraient éligibles pour recevoir des redevances du livre d’Hitler Mein Kampf, mais les enfants ont refusé. Après tout, qui voudrait vraiment profiter de la preuve qu’il est un descendant d’Hitler ?
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