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Agissant sur la base d’informations fournies par un groupe anti-piratage, la police suédoise a effectué des descentes et détruit au moins un site de scène warez. Les articles saisis comprennent au moins une douzaine d’ordinateurs et de serveurs contenant un conservateur de 200 téraoctets de médias, principalement des films hollywoodiens. Alors que d’autres sites sont aspirés par les retombées, les récriminations et les accusations ont commencé.
Cette semaine, les autorités suédoises ont de nouveau tourné leur attention vers The Scene, la collection de serveurs et d’individus qui habitent le sommet de la soi-disant pyramide du piratage.
À la suite d’une longue enquête menée par le groupe anti-piratage Antipiratbyrån, au cours des dernières 48 heures, la police suédoise a agi sur la base de ses preuves et s’est installée sur au moins un « topsite ».
Le site, censé contenir entre 200 et 250 téraoctets de médias, était connu sous le nom de « Devil ». Au cours des raids, la police a saisi une douzaine de serveurs et d’autres ordinateurs et a arrêté une personne.
L’individu, qui aurait été remis à Antipiratbyrån pour interrogatoire, est accusé d’être l’opérateur du « Diable ». On lui reproche la distribution de « dizaines de milliers » de films principalement hollywoodiens.
Dans ce qui semblait être une réponse de sécurité aux nouvelles du buste, d’autres topsites ont commencé à tomber en Suède et dans au moins un autre grand pays européen.
Des éléments de deux autres topsites avec des liens vers ‘Devil’ connus sous le nom de Secu et Tomte (250 téraoctets combinés) ont également été affectés mais afin de ne pas compromettre nos sources, nous nous abstiendrons d’entrer plus en détail sur les raisons à ce stade.
Autant dire que certains groupes de sortie de films assez importants (notamment suédois) étaient connectés aux sites et leurs activités auront été perturbées, au moins temporairement.
Au sein de la Scène, les récriminations ont commencé, pointant du doigt des individus et des groupes soupçonnés d’avoir causé le manquement à la sécurité qui a conduit aux bustes. Sans surprise, les accusations semblent se concentrer sur les membres de Scene qui sont également connectés à des groupes de partage P2P, une activité mal vue mais néanmoins répandue.