Le Dolmen de Guadalperal, ou le « Spanish Stonehenge », a émergé du réservoir qui l’a noyé il y a 60 ans
MANU FERNANDEZ/AP
FTous les niveaux d’eau dans les lacs, les rivières et les réservoirs de la planète suscitent l’inquiétude, de l’avenir incertain de la navigation à grande échelle sur le Rhin au début de l’automne deux mois plus tôt que les arbres perdent leurs feuilles pour conserver le liquide. Alors que les pelouses se ratatinent sous l’interdiction des tuyaux d’arrosage, les compagnies des eaux anglaises suscitent des critiques. Il est difficile de dire quel torrent est le plus lourd, le montant de l’approvisionnement perdu dans les fuites ou les salaires qui continuent d’affluer sans relâche sur les comptes bancaires des patrons de l’eau. La majeure partie de l’Europe, à l’exception prévisible de l’Écosse, prie pour la pluie.
Pourtant, un effet secondaire de la sécheresse mérite d’être célébré : le nombre de trésors et de bizarreries habituellement submergés qui font surface. Un navire de guerre allemand coulé de la Seconde Guerre mondiale est révélé