La Cour entendait une plainte déposée par Warner Bros affirmant que les sites Web défendeurs violaient son droit d’auteur en diffusant et en hébergeant illégalement son contenu. La société a fait valoir qu’une enquête avait été menée par un enquêteur indépendant pour sonder l’étendue de l’activité de contrefaçon des sites Web escrocs.

Il a également informé la Cour qu’un avis de cessation et d’abstention avait été signifié sur les sites Web frauduleux les invitant à cesser de se livrer à leurs activités de contrefaçon. Cependant, malgré l’avis légal, il a été soutenu que les sites Web escrocs continuent de porter atteinte aux droits du plaignant.

Warner Bros a donc demandé la réparation suivante à la Cour :

– Émettre une ordonnance et un décret d’injonction permanente interdisant à Otorrents d’héberger et de diffuser son contenu ;

– Donner l’ordre aux FAI de bloquer l’accès au site Web d’Otorrents ;

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– Émettre une ordonnance enjoignant au ministère de l’Électronique et des Technologies de l’information de l’Union (MEITY) et à d’autres départements gouvernementaux d’émettre une notification appelant les différents fournisseurs de services Internet et de télécommunications enregistrés auprès de lui à bloquer l’accès au site Web.

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Violette Laurent est une blogueuse tech nantaise diplômée en communication de masse et douée pour l'écriture. Elle est la rédactrice en chef de fr.techtribune.net. Les sujets de prédilection de Violette sont la technologie et la cryptographie. Elle est également une grande fan d'Anime et de Manga.

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