À côté du déjà ordre exécutif infâme qui visait à interdire TIC Tac Jeudi dernier, le président Trump a publié un deuxième décret contre WeChat, le service de messagerie Internet le plus important de Chine, qui appartient à Tencent. L’interdiction interdit toute transaction avec l’une ou l’autre des sociétés après le 20 septembre.
Plus tôt cette semaine, Le journal de Wall Street a rapporté que «plus d’une douzaine» d’entreprises américaines ont repoussé l’interdiction à venir. Toutes ces entreprises, dont Apple, Disney, Ford, Walmart et Intel, ont sauté sur un appel avec la Maison Blanche pour discuter des effets néfastes potentiels d’une interdiction de WeChat sur leur entreprise.
Selon The Verge, il y a «beaucoup de confusion» concernant l’interdiction et sa portée en raison de son langage large, qui est soumis au Département du commerce. Cela serait en partie la raison de l’appel.
En raison de sa présence omniprésente en Chine, une interdiction complète aurait un impact massif sur ces entreprises dans leur capacité à commercialiser et à vendre des produits dans le pays. En particulier, Apple, qui trouverait extrêmement difficile de vendre un smartphone sans accès à WeChat aux consommateurs chinois. En fait, The Verge déclare: «Un App Store sans WeChat serait encore plus un problème pour l’iPhone en Chine que le manque de services Google ne l’est pour Huawei ailleurs».
Cela affectera également les marques qui sont plus indirectement liées à l’application en raison de la portée que WeChat leur permet dans leurs campagnes marketing et le fait de ne pas pouvoir traiter les transactions via l’application interromprait considérablement leurs opérations en Chine.
On ne sait toujours pas ce qui va se passer de la guerre de Trump contre la technologie chinoise, mais ces entreprises (et le reste d’entre nous) attendent un ordre exécutif mis à jour et plus restreint qui, espérons-le, mettra un terme à tous ces problèmes potentiels.