Le suspect dans une attaque au couteau extrémiste islamique qui a tué trois personnes dans une église française avait une photographie sur l’un de ses téléphones portables de l’auteur d’un autre incident meurtrier.
Les procureurs français ont déclaré que l’homme tunisien avait des images d’Abdoullakh Anzorov, le réfugié tchétchène identifié comme l’assassin d’un enseignant Samuel Paty décapité le 16 octobre devant son école près de Paris.
Un message audio décrivant la France comme un « pays des non-croyants » et des photos relatives au groupe État islamique ont également été découverts sur le téléphone du jeune de 21 ans arrêté après la 29 octobre Attaque d’une église à Nice.
Cependant, les enquêteurs n’ont pas encore été en mesure d’interroger l’attaquant présumé de l’église, précédemment identifié comme étant Brahim Aouissaoui, car il reste dans un état grave à l’hôpital.
Il a subi des blessures potentiellement mortelles lors de son arrestation et a depuis été testé positif au coronavirus.
Le bureau du procureur a déclaré avoir ouvert une enquête formelle sur des accusations de terrorisme qui permettra aux enquêteurs de continuer à rechercher si l’attaquant présumé avait des complices en France, en Tunisie ou en Italie.
Il a traversé l’Italie avant d’arriver à Nice moins de 48 heures avant l’attaque de la basilique Notre-Dame de la ville méditerranéenne.