Sarah Wood est au service des clients en tant que coiffeuse mobile depuis plus de 25 ans.

La femme de 46 ans d’Eckington a dû faire une demande dans le cadre du programme de soutien du revenu du travail indépendant, pendant les périodes où elle a été forcée de fermer en raison des restrictions de Covid.

Lors du premier verrouillage, Sarah a dû attendre six semaines avant de pouvoir recevoir une pension alimentaire.

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Sarah Wood qui se plaint du manque de soutien de Covid à l’industrie de la coiffure

«Le premier verrouillage était vraiment effrayant, les paiements ne couvraient pas toutes les dépenses.»

Elle a ajouté: «Ne vous méprenez pas, je pense que le gouvernement a été brillant pour payer ce qu’il a payé, je suis un travailleur indépendant, donc je ne peux pas être libéré.

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Sarah pense qu’il y a plus à faire, tandis que certaines industries ont obtenu une pause dans le paiement de la TVA, contrairement au secteur de la coiffure et de la beauté.

«Nous n’avons eu aucune réduction de TVA sur nos produits, ce qui, je pense, pourrait probablement être envisagé pour l’industrie de la coiffure et de la beauté», a-t-elle déclaré.

«Alors, quand nous serons de nouveau sur pied, j’espère que le gouvernement nous donnera un petit coup de main.

Pendant ce verrouillage actuel, Sarah est idéalement placée pour travailler avec des clients qui protègent.

«Certaines personnes préfèrent que je rentre chez elles plutôt que d’aller chez les coiffeurs», a-t-elle déclaré.

«Évidemment, cela coûte cher avec l’EPI et cela prend beaucoup plus de temps à cause du nettoyage par la suite.»

Sarah a envisagé de quitter la profession, mais a changé d’avis.

«Je m’y tiens, je suis mobile depuis plus de 25 ans et j’ai des clients que j’ai depuis le début, donc je ne veux rien faire d’autre, dit-elle.

«J’ai pensé à entrer dans autre chose et j’ai pensé que tu sais quoi, je ne peux pas recommencer.

« J’adore mon travail et je ne veux pas m’arrêter. »

En ces temps déroutants et inquiétants, le journalisme local est plus que jamais vital. Merci à tous ceux qui nous aident à poser les questions qui comptent en souscrivant un abonnement numérique ou en achetant un papier. Nous luttons tous ensemble. Nancy Fielder, rédactrice en chef.

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