Comme le Remarque 11 Pro auparavant, son successeur de milieu de gamme a un grand écran AMOLED de 6,67 pouces qui offre une résolution de 2 400 x 1 080 pixels et prend en charge un taux de rafraîchissement de 120 Hz. Même si le téléphone Redmi n’utilise pas de panneau LTPO capable de fournir des fréquences variables, le Note 12 Pro est capable de basculer automatiquement la fréquence entre 60 et 120 Hz. Cependant, actuellement, cette fonction semble encore limitée à certaines applications spécifiques, puisque le Note 12 Pro reste toujours à 120 Hz même après cinq minutes d’affichage de l’écran d’accueil. Lors du démarrage de certaines applications sélectionnées telles que YouTube par exemple, l’affichage passe alors en mode 60 Hz. Certaines améliorations logicielles sont encore nécessaires à cet égard.
Le fabricant chinois spécifie la luminosité maximale de la dalle à 900 cd/m², ce qui correspond presque exactement à nos valeurs mesurées avec le capteur de luminosité activé affichant un affichage blanc pur. Lors de l’ajout de zones sombres dans l’APL 18, le smartphone Redmi atteint un niveau très similaire de 953 cd/m² au centre de l’écran. Avec cela, le panneau OLED certifié DolbyVision est également adapté à la reproduction de contenus HDR.
En raison de la technologie d’affichage utilisée ici, le Redmi Note 12 Pro n’est pas épargné par le scintillement de l’affichage. Dans nos mesures, la fréquence PWM ne varie guère, restant à 120 Hz relativement constant. Cependant, Xiaomi lui-même mentionne une fréquence PWM très élevée (1 920 Hz), qui devrait être beaucoup plus confortable notamment pour les utilisateurs sensibles. Nous ne sommes pas en mesure de déterminer définitivement si la raison de cet écart réside dans notre équipement de mesure ou si ce mode automatique ressemblant à une gradation DC n’a tout simplement pas été activé lors de notre test.
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