SpaceX a le feu vert pour développer son Constellation large bande Starlink depuis l’espace à plus de 10 000 petits satellites en orbite terrestre basse au cours des prochaines années, et il espère offrir un service pour smartphones via T-Mobile au moment où seulement la moitié de ces routeurs volants fonctionneront.
SpaceX a déposé une demande auprès de la Federal Communications Commission des États-Unis le 6 décembre pour obtenir l’autorisation d’équiper certains de ses satellites Starlink de deuxième génération avec du matériel « direct-to-cellular ».
Il s’agit d’un obstacle réglementaire clé que la société spatiale d’Elon Musk doit franchir pour livrer en août annonce avec T-Mobile pour connecter les deux réseaux de données au nom de l’éradication des zones mortes mobiles, du moins dans une grande partie des États-Unis.
La demande est également une suite clé à une approbation de la FCC annoncée le 1er décembre qui autorise SpaceX à lancer 7 500 Starlink « Gen2 » satellites avant la fin de la décennie.
La nouvelle capacité permettrait à Starlink « de fournir la voix, la messagerie et la navigation Web de base à des vitesses de pointe théoriques allant jusqu’à 3,0 Mbps ou 7,2 Mbps en téléchargement … et jusqu’à 4,4 Mbps ou 18,3 Mbps sur la liaison descendante » le dossier lit.
D’autres entreprises s’efforcent d’offrir le haut débit mobile basé dans l’espace, notamment AST SpaceMobile, basée au Texas, qui a récemment lancé un satellite de test doté d’un vaste réseau d’antennes relativement faciles à repérer depuis le sol (au grand dam des astronomes).
SpaceX a déjà lancé 3 500 Starlinks de première génération et affirme pouvoir offrir une couverture smartphone « complète et continue » avec 2 000 satellites Gen2 équipés dès 2024.
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