Simulation Des Fuites Radio Terrestres Des Tours Mobiles Vues De Certains Systèmes Stellaires À Proximité

Cette carte montre la répartition géographique des tours mobiles de la planète Terre, représentée par des points rouges. La carte contient plus de 30 millions de points de données individuels, dont la plupart se chevauchent à cette résolution. — astro-ph.EP

Les tours de communication mobiles représentent un contributeur relativement nouveau mais croissant aux fuites radio totales associées à la planète Terre.

Nous étudions la contribution globale de la puissance des tours de communication mobile au bilan de fuite radio de la Terre, comme on le voit à partir d’une sélection de différents systèmes stellaires à proximité. Nous avons créé un modèle de cette fuite en utilisant des données accessibles au public sur les emplacements des tours mobiles.

Le modèle quadrille la surface de la planète en petites régions gérables par calcul, en supposant un modèle de transmission intégré simple pour les antennes mobiles. Dans ce modèle, ces régions de tours mobiles montent et se couchent au fur et à mesure que la Terre tourne. De cette manière, un spectre de puissance dynamique de la Terre a été déterminé, sommé sur toutes les bandes de fréquences cellulaires.

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Nous avons calculé ce spectre de puissance dynamique à partir de trois points de vue différents, HD 95735, l’étoile Barnard et Alpha Centauri A. Nos résultats préliminaires démontrent que la puissance de crête qui fuit dans l’espace à partir des tours mobiles est d’environ 4 GW. Ceci est associé à la technologie de tour mobile LTE émanant de la côte est de la Chine, vue à partir de HD 95735.

Nous démontrons que la fuite de la tour mobile est périodique, dépendante de la direction et ne peut actuellement pas être détectée par une civilisation proche située à moins de 10 années-lumière de la Terre, en utilisant une instrumentation avec une sensibilité similaire au télescope Green Bank.

Nous prévoyons d’étendre notre modèle pour inclure des systèmes mobiles 5G plus puissants, des installations radar, des liaisons montantes au sol (y compris le réseau Deep Space) et divers types de services par satellite, y compris des constellations en orbite terrestre basse telles que Starlink et OneWeb.

Ramiro C. Saide, Michael A. Garrett, Nalini. Heeralall-Issur

Sujets : Astrophysique terrestre et planétaire (astro-ph.EP) ; Instrumentation et Méthodes pour l’Astrophysique (astro-ph.IM); Physique et société (physics.soc-ph) Citer comme suit : arXiv:2304.13779 [astro-ph.EP] (ou arXiv:2304.13779v1 [astro-ph.EP] pour cette version) Historique des soumissions De : Ramiro Saide M. [v1] mer. 26 avril 2023 18:51:32 UTC (34 431 Ko) https://arxiv.org/abs/2304.13779 Astrobiologie, SETI,

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