Les 20 et 21 mai, Samsung Electronics et l’Agence des Nations Unies pour les migrations, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), se sont réunis pour organiser un atelier virtuel sur le thème «Esclavage moderne et recrutement éthique». L’atelier de deux jours, qui faisait partie d’un effort visant à réduire le risque de travail forcé dans les entreprises et les chaînes d’approvisionnement, a accueilli environ 50 participants de Samsung Electronics Pologne, des fournisseurs locaux et des partenaires commerciaux en Pologne.
C’était le troisième atelier organisé par Samsung Electronics et l’OIM – à la suite de premier événement à Kuala Lumpur, Malaisie en juin 2019 et le deuxième événement à Jászfényszaru, Hongrie en novembre 2019 – dans le cadre d’un effort continu pour lutter contre l’esclavage moderne dans l’industrie électronique.
Selon des statistiques récentes publiées par l’OIM, environ 40 millions de personnes dans le monde sont soumises à l’esclavage moderne, dont 25 millions se retrouvent victimes du travail forcé. Un quart de ce nombre sont des travailleurs migrants.
Au cours de l’atelier, les participants ont discuté de la définition de l’esclavage moderne et des risques de travail forcé et d’emploi contraire à l’éthique. Ils ont également pris connaissance de la politique des travailleurs migrants de Samsung Electronics (révisée en juin 2020), que les fournisseurs et partenaires sont tenus de respecter. En outre, l’OIM a proposé diverses stratégies et activités dans le but de renforcer le respect des lois et réglementations polonaises relatives à l’emploi éthique et d’atténuer le risque de travail forcé.
Le travail forcé reste un problème mondial pressant. En collaboration avec l’OIM, Samsung Electronics poursuivra ses efforts de sensibilisation et de renforcement des capacités des employés, des fournisseurs et des partenaires commerciaux pour lutter contre le travail forcé et protéger les droits des travailleurs tout au long de la chaîne d’approvisionnement mondiale.