Deux plaintes concernant le conseil de district ont été déposées auprès du médiateur par l’homme, qui n’a pas été identifié mais qui est désigné sous le nom de MX dans les rapports. Les deux cas ont cependant été rejetés par l’ombudsman, selon un rapport au comité des normes et des ressources du conseil.
Dans son rapport de décision, le Médiateur a déclaré : « M. X se plaint que le conseil a autorisé les antennes 5G dans sa zone.
«Nous n’enquêterons pas sur la plainte concernant les mâts de télécommunications de cinquième génération (5G) dans la zone du conseil. Il est peu probable que l’enquête trouve une faute de la part du conseil. De plus, les actions du conseil n’ont pas causé à M. X une injustice suffisamment importante pour justifier une enquête.
« Monsieur X n’habite pas dans le ressort communal ou dans un ressort directement limitrophe du ressort communal. Ainsi, les mâts 5G dans la zone du conseil ne causent pas directement à M. X une injustice significative avec un impact présumé sur sa santé.
«M. X dit que les mâts l’ont empêché de se déplacer vers la zone du conseil, ce qu’il espérait faire pour s’éloigner des mâts 5G près de l’endroit où il vit maintenant. Je comprends la déception de MX, mais ce n’est pas un impact suffisamment important ou suffisamment direct pour justifier l’enquête du Médiateur, en particulier lorsque le conseil a un pouvoir limité et que nous ne trouverons probablement pas de faute.
« Le conseil a peu de contrôle sur l’installation des pylônes de télécommunications. La plupart des mâts n’ont pas besoin d’un permis de construire du conseil. Le conseil ne peut commenter que certains aspects de l’implantation proposée d’un pylône.
«Le gouvernement a publié des directives indiquant que les preuves ne montrent pas que ces mâts présentent un risque pour la santé des personnes. Le conseil ne peut pas ignorer cette orientation bien que M. X ne soit pas d’accord avec l’orientation.
« Cela signifie que la crainte d’un effet possible sur la santé de quelqu’un ne serait pas une raison valable pour que le conseil s’oppose à l’installation d’un mât. »
L’autre plainte formulée par Monsieur X porte sur la manière dont la commune l’a traité lors de sa recherche d’un logement social dans le quartier.
Le rapport du Médiateur indique : « M. X se plaint que le conseil ne l’a pas traité correctement lorsqu’il a voulu emménager dans sa zone. Il dit que cela signifiait qu’il devait rester plus longtemps dans sa maison actuelle, où il rapporte que les mâts de télécommunications 5G nuisent à sa santé.
« Monsieur X habite hors de la commune. La façon de postuler pour un logement social dans la zone du conseil est de remplir le processus de demande en ligne.
« Monsieur X n’a pas postulé en ligne mais déclare avoir téléphoné deux fois à la mairie. Il rapporte que le conseil a déclaré les deux fois qu’il ne pouvait pas obtenir de logement social dans le South Staffordshire parce qu’il n’avait pas de connexion locale.
«M. X déclare qu’il a un lien familial avec la région et que, de toute façon, sa principale raison de vouloir un logement dans le South Staffordshire était médicale.
Étant donné que M. X m’a dit qu’il ne souhaite plus vivre dans la zone de la commune, une enquête sur ce qui s’est passé alors qu’il envisageait cette possibilité constituerait une utilisation disproportionnée du temps et des deniers publics du Médiateur, car il est peu probable qu’elle conduise à un résultat significatif dans termes pratiques. »