(Bloomberg) – La police du Zimbabwe a accusé Econet Wireless Ltd., la société de téléphonie mobile dominante du pays, de blanchiment d’argent, a exigé une liste de ses abonnés et a émis un mandat de perquisition à son encontre.

Cette décision aggrave un affrontement entre le gouvernement et l’entreprise dont le service de transfert d’argent facilite la majeure partie des transactions dans ce pays d’Afrique australe. Le gouvernement affirme que ses activités contribuent à la dépréciation rapide de la monnaie nationale.

Dans un ordre contre l’entreprise, la police a accusé l’entreprise de créer de l’argent mobile fictif, de le convertir en espèces puis d’acheter des devises étrangères sur le marché noir avant de l’envoyer hors du pays.

Le 26 juin, le pays a interdit la plupart de ces transactions et a annoncé son intention de forcer l’unité Ecocash d’Econet à utiliser une plate-forme de transfert d’argent gérée par le gouvernement.

Les appels au porte-parole d’Econet, Fungai Mandiveyi, n’ont pas reçu de réponse.

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