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Les chaussures

En flash-back, l’épisode 5 de L’Impératrice nous montre ce qu’Ava a fait pour devenir Léontine il y a quelques temps. C’est ce qu’indiquait Egon lors de leur rencontre tendue dans le dernier épisode.

Dans le présent, Elisabeth montre une fois de plus sa personnalité différente, se faufilant autour des gardes et des comtesses pour écrire de la poésie stationnée dans un arbre. Léontine la rejoint et il semble que les deux s’apprécient et se respectent. Ils se lient au chant des oiseaux et Léontine détourne l’attention d’un soldat pour apaiser Elisabeth.

Theo réveille Franz pour un départ anticipé. Il enhardit ses soldats alors qu’ils se battent pour protéger les frontières de l’Autriche. C’est vraiment un discours gagnant, sincère et inspirant. Il leur demande toujours de maintenir la paix dans leur royaume mais de ne pas hésiter à se battre si les Russes proposent l’agression. De retour au palais, Esterhazy explique les règles d’or que l’impératrice doit suivre lorsqu’elle rencontre le peuple. C’est le jour où elle va dans la ville pour garder leurs espoirs; pour leur montrer qu’elle tient à cœur. Sophie et Esterhazy sont sévères avec elle mais Léontine lui apporte son soutien.

Von Bach rapporte des nouvelles inquiétantes à Franz. Sina a annulé l’accord parce que l’empereur a envoyé des troupes importantes à la frontière. Il le congédie avec colère. Elisabeth et Franz discutent des nouvelles conditions dans l’empire et de leur vie personnelle. Leur lien et leur amour l’un pour l’autre sont tout ce qui leur donne de la force et de l’espoir. Dans d’autres nouvelles, Max et Charlotte dorment ensemble pendant une nuit. Max pratique le discours entraînant qu’il donnera au peuple en tant que nouvel empereur. Lors de la réunion du cabinet, Franz décide que l’armée tiendra les lignes et n’attaquera pas. Bien que Sophie la soutienne sur le moment, elle chante en personne un air différent de Franz.

Elisabeth atteint la ville avec Esterhazy et Ludwig-Viktor, qui lui donne des indications sur la façon de les rencontrer. Contre l’insistance d’Esterhazy, Elisabeth entre dans une fonderie pour constater les conditions de travail ignobles. Elle rencontre Hedi, la fille que nous avons brièvement vue au début de l’épisode. Lorsque l’impératrice s’aperçoit qu’elle n’a pas de chaussures, elle donne sa propre paire. Kempen porte l’impératrice dans ses bras sur les instructions d’Esterhazy, provoquant la colère des gens car cela donne l’impression d’être autoritaire. Ludwig est blessé dans le bal qui suit.

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Amalia est toujours sur le cas de Léontine et découvre une robe couverte de sang. Alors que Léontine est sur le point d’entrer dans ses appartements, von Bach s’approche d’elle. Ils partent en promenade ensemble et Bach lui demande de voir des tableaux ensemble. Pour accéder au trône, Max a besoin de trois choses : le soutien de l’armée et de l’Église catholique, mais surtout, celui de Sophie. Elle détient la clé de son plan directeur. Il semble que cela pourrait être un problème auquel il devra faire face «avec force».

La comtesse Louise rencontre Franz et lui raconte ses fiançailles avec von Sina. Elle se sent insultée quand Franz essaie de porter un toast à l’amour de Louise et Sina. Franz la supplie de convaincre Sina de reconsidérer sa décision. Elle accepte après quelques tactiques sadiques. Elisabeth est en colère contre Esterhazy pour avoir ruiné son geste. Sophie et Franz se réunissent dans leurs appartements. Elisabeth rapporte une image vraie de la fonderie et Franz la confronte à ce sujet. Il lui demande de se tenir à distance des roturiers, pleinement conscient du mépris qu’ils suscitent en le faisant.
Sophie prévient Esterhazy des conséquences d’un incendie si Elisabeth fait à nouveau une fausse couche. Max visite l’église et l’archevêque est heureux de le revoir après la mort de sa fiancée. Il propose son coup d’État à l’archevêque mais il ne rend pas la pareille. Il s’interroge sur ses intentions. Léontine avertit Elsa, l’une des conspiratrices du palais, d’annuler le plan car Amalia connaît son identité. Mais elle dit qu’ils iront jusqu’au bout malgré tout. Elisabeth ne peut plus dormir et se promène en bas pour trouver un max de retour d’une fête en ville.

Il propose de l’accompagner à Prague par un tunnel secret – fuyez ce gâchis royal. Elisabeth rend visite à Léontine alors qu’elle fait ses valises pour s’enfuir. Ils ruminent avec émotion leur objectif dans le palais. Hedi danse presque dans ses chaussures mais regarde avec angoisse quand elle découvre que les gardes ont tué son frère dans la violence qui a éclaté à l’extérieur de la fonderie. Leur résolution pour une révolution devient encore plus forte.


La revue de l’épisode

Cet épisode a vu Elisabeth faiblir un peu en raison de son inexpérience à la cour et de sa spontanéité. D’après ce que nous savons de l’impératrice et ce que nous avons vu jusqu’à présent, Elisabeth avait définitivement de la place pour faire quelque chose de choquant. Nous savons qu’elle s’en soucie et qu’elle va peut-être un peu trop loin. Mais enlever ses chaussures et les donner à la fille ressemblait plus à un gadget qu’autre chose.

L’impératrice a glissé à certains endroits en usant de libertés artistiques pour passer au peigne fin l’exactitude historique. C’est très bien, mais s’éloigner si loin du chemin n’est pas facilement tolérable. Les dérapages dans l’intrigue sont également apparus, bien que brièvement, dans cet épisode.

La façon dont Amalia va, ce n’est peut-être pas la meilleure fin pour elle. Elle est sur le point de faire expulser Léontine du tribunal et peut-être même de la pendre, mais le jeu peut faire un 180 complet en une seconde. Une chose qui est inhérente à L’Impératrice est ce besoin constant de faire émerger une lutte contre le système. À bien des égards, la série tente de découvrir le point de vue des jeunes mécontents qui étaient bien en avance sur leur temps.

Cet épisode a vu une extension de cela sous la forme de la révolution gagnant sa force définitive. Bien que nous ne sachions pas comment cela va se passer, il a de grandes qualités démonstratives. La situation de Franz a beaucoup souffert et l’Empereur manque de réponses et d’alliés. Le côté politique de son règne a atteint son apogée dans l’épisode 4 et a torturé le souverain sans pitié dans l’épisode 5. Il n’est pas rare que des émissions historiques exploitent cette essence de l’époque, mais The Empress le fait de manière respectueuse.

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