![Double Vpn Double Vpn](https://thehackernews.com/images/-5aBLsPt-xPM/YNxlrcoASxI/AAAAAAAADCM/sifZNRKzYjkQ5V95wIyaa5-hdPK6HOBkgCLcBGAsYHQ/s728-e1000/domain-vpn.jpg)
Une opération internationale coordonnée d’application de la loi a entraîné le retrait d’un service VPN appelé DoubleVPN pour fournir un refuge aux cybercriminels pour couvrir leurs traces.
« Le 29 juin 2021, les forces de l’ordre ont démantelé DoubleVPN », les agences mentionné dans un avis de saisie éclaboussé sur le site aujourd’hui disparu. « Les forces de l’ordre ont eu accès aux serveurs de DoubleVPN et ont saisi des informations personnelles, des journaux et des statistiques conservés par DoubleVPN sur tous ses clients. Les propriétaires de DoubleVPN n’ont pas fourni les services qu’ils avaient promis. »
L’enquête pénale a été menée par des agences de Bulgarie, du Canada, d’Allemagne, d’Italie, de Suède, de Suisse, des Pays-Bas, du Royaume-Uni et des États-Unis, aux côtés des autorités de Eurojust et celui d’Europol Centre européen de lutte contre la cybercriminalité (EC3).
On dit que DoubleVPN a fait l’objet d’une large publicité sur les forums de cybercriminalité clandestins russes et anglophones comme moyen de masquer l’emplacement et l’identité des opérateurs de ransomware et des fraudeurs par hameçonnage.
![Double Vpn Double Vpn](https://thehackernews.com/images/-KwKBmyokxS4/YNxmNYrPTzI/AAAAAAAADCU/V-LDiu0YlukX2ulRej48P3OG3-fDxrzLwCLcBGAsYHQ/s728-e1000/double-vpn.jpg)
En plus de fournir un niveau avancé d’anonymat en offrant des connexions VPN simples, doubles, triples et même quadruples à ses clients – où le trafic Internet est acheminé via deux ou plusieurs serveurs VPN, tout en cryptant simultanément les données autant de fois – DoubleVPN connexion VPN la moins chère coûtent aussi peu que 25 $ par mois.
Avant son retrait, le site de DoubleVPN a également affirmé que le service ne conservait aucun journal ni aucune statistique sur ses utilisateurs, déclarant « nous n’espionnons pas nos clients » et que « nous pouvons dire de manière responsable qu’il n’y a pas de journalisation de l’activité des clients sur nos serveurs ».
L’incident de mardi n’est pas la première fois qu’un service VPN est pris dans le collimateur des forces de l’ordre.
En décembre 2020, Europol et des agences des Pays-Bas, des États-Unis, d’Allemagne, de Suisse et de France ont supprimé Safe-Inet, un service populaire de réseau privé virtuel (VPN) qui offrait des services d’hébergement à toute épreuve pour faciliter les activités criminelles.