LA légende de Zelda est l’une des franchises les plus importantes et les plus anciennes de Nintendo. Chaque Nintendo console a reçu au moins une entrée principale ou un spin-off, mais même si LA légende de Zelda est un nom familier, son titre a causé beaucoup de confusion au fil des ans.
Pour ceux qui n’ont jamais joué à La légende de Zelda jeu, le personnage principal de la série est un jeune garçon (ou un homme, selon l’entrée) nommé Link. Il est, sans faute, un héros muet aux poches sans fond et encore plus au courage sans fond. Et pourtant, bien qu’il soit le visage de la franchise, chaque jeu porte le nom d’une princesse Zelda, dont le rôle, en particulier dans les premiers jeux, se résume souvent à « demoiselle en détresse » (elle a obtenu un meilleur matériel dans les épisodes plus récents, heureusement). Les joueurs ne peuvent jouer en tant que Zelda que dans cinq titres, tous des spin-offs, mais elle obtient toujours la première place puisque son nom est dans le titre, pas celui de Link. Pourquoi?
Avant de continuer, c’est probablement une bonne idée de rattraper les lecteurs sur une logique commune aux développeurs de jeux : les titres doivent se rapporter à une fonctionnalité ou à un aspect important du jeu. Sinon, comment le public reliera-t-il le nom à l’expérience ? Parfois, les jeux se transforment en franchises et évoluent au-delà des éléments qui ont contribué à créer leurs noms. Par exemple, Resident Evil a commencé dans une résidence maléfique mais s’est étendue à des villes infestées de zombies, mais malgré le changement de décor, la série n’a jamais abandonné son titre. LA légende de Zelda défie cette logique, ce qui a entraîné plus d’un malheureux cas d’erreur d’identité.
Ce n’est pas un secret que LA légende de Zeldaest une idée originale du légendaire directeur créatif de Nintendo, Shigeru Miyamoto. Bien sûr, le jeu était un effort d’équipe, mais Miyamoto a proposé le concept initial du jeu et l’accent mis sur l’exploration. Il était également le développeur qui a donné son titre au jeu. Mais au lieu de lui donner le nom du protagoniste ou du pays fictif dans lequel il s’est déroulé, Miyamoto s’est inspiré de… un romancier américain de toutes origines.