Carré Enix
Final Fantasy VII Remakel’exclusivité sur les consoles prend fin aujourd’hui. Dix-neuf mois après son lancement sur PS4 et sept mois après sa mise à jour PS5, Le retour ambitieux de Square Enix à Midgar sort de la famille de consoles de Sony pour atterrir sur PC.
Si vous êtes le type de Final Fantasy fan qui ne veut guère plus qu’un moyen de jouer à ce jeu sur votre ordinateur, vous pouvez vous attendre à un port magnifique et surtout solide qui offre les avantages de la version PS5 à beaucoup plus de gens. J’ai participé à mes tests de FFVIIR sur PC avec des espoirs plus élevés, cependant. Pour les joueurs comme moi, les nouvelles ne sont pas aussi bonnes, ce qui rend son prix PC exceptionnellement élevé de 70 $ encore plus difficile à avaler.
Mon premier arrêt avant de commencer FFVIIR Le gameplay PC était l’écran des options, où j’ai claqué dans le mur de briques qui est le menu « graphiques » ci-dessus.
Si vous avez joué à un jeu Unreal Engine 4 sur PC au cours des dernières années, vous pouvez immédiatement savoir quels paramètres cruciaux manquent. Il n’y a pas de bascule pour ajuster la qualité ou la méthodologie anti-aliasing. Vous ne pouvez pas désactiver V-sync. Et la plupart des bascules graphiques plus fines qui peuvent augmenter les performances des machines de faible puissance sont totalement absentes, y compris l’occlusion ambiante, la réflexion, la profondeur de champ, le flou de mouvement et les curseurs d’effets de particules.
Pire encore, les paramètres inclus sont limités. Le menu « FPS » limite les joueurs à quelques fréquences d’images présélectionnées: 30 (identique à la PS4), 60 (identique à la valeur par défaut de la PS5), 90 et 120. (Rien de plus élevé pour les foules de 144 Hz et 165 Hz.) Comme je l’ai confirmé lors de tests, cette tentative de verrouiller la fréquence d’images à une cible arrondie conduit à des performances parfois saccadées lorsque le jeu ne peut pas atteindre sa marque. Ce problème se traduit par quelque chose qui ressemble à un bégaiement de rythme de cadre; il semble que le jeu ne joue pas bien avec un taux de rafraîchissement variable.
À une résolution de 1080p, mon ordinateur portable préféré de moyenne à haute spécification exécute le jeu principalement à 90 ips, mais la fréquence d’images peut chuter lorsque la caméra passe à une toute nouvelle scène rendue en temps réel ou lorsque le jeu rend des explosions remplies de particules. Dans ces moments, le bégaiement de la fréquence d’images est assez sévère, ce qui implique qu’il reste un travail d’optimisation pour l’équipe de portage PC de Square Enix.
Et si vous recherchez un support de moniteur ultra-large, vous ne le trouverez pas ici. FFVIIR sur PC est verrouillé à un rapport 16: 9.
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Comparaisons de qualité. Celui-ci est difficile à voir. Regardez en arrière-plan les PNJ. C’est le jeu qui fonctionne à des paramètres de foule « maximum ».
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Regardez à nouveau, et vous verrez que la foule au loin n’est pas là. Ils n’apparaîtront que lorsqu’ils se trouvent dans un certain rayon de Cloud à ce paramètre « minimum » pour les foules de PNJ.
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Qualité d’ombre « élevée ».
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Qualité d’ombre « faible ». Réduire la qualité à ce paramètre ne réduit que les performances d’environ 1,25%, je ne recommande donc pas de le faire.
Actuellement, votre seul moyen d’améliorer les performances du PC dans les menus par défaut provient d’une option de résolution d’ombre et d’un curseur qui détermine le nombre de PNJ visibles (applicable uniquement dans les villes). Ce dernier est essentiellement un curseur de niveau de détail pour combien de temps il faut qu’une foule de citadins apparaisse. Cela ne semble pas avoir d’impact sur les batailles les plus intensives du jeu, et changer le paramètre de ses spécifications minimales à son maximum ne vous permet d’augmenter les performances que de 1,5%. Le passage de la qualité des ombres de haut en bas n’entraîne que 1,25 % de performances en plus au prix d’ombres nettement plus laides. Aucune des deux voies vers de maigres économies de fréquence d’images ne vaut la dégradation visuelle apparente.
