Par citizen.co.za

JOHANNESBURG: Onze suspects ont été arrêtés et un chrome minier d’une valeur de 5 millions de rands a été récupéré lors d’une opération de perquisition et de saisie à Witbank le jeudi 28 avril.

Selon le service de police sud-africain (Rpus), les suspects comprennent une femme et 8 hommes originaires du Zimbabwe, tandis que deux autres hommes sont originaires du Mozambique.

« L’enquête a jusqu’à présent révélé que la femme, qui serait la cheville ouvrière, était en possession d’un document d’identité sud-africain alors que les autres n’avaient pas de documents légaux pour se trouver dans le pays », a écrit le brigadier Selvy Mohlala dans un communiqué.

À la suite d’une équipe composée de membres de Witbank SAPS, de Witbank Crime Intelligence et de responsables de Transnet, une opération d’infiltration a été menée jeudi après-midi.

Publicité

Au cours de l’opération de perquisition et de saisie, les fonctionnaires de police ont découvert qu’il y avait quatre salles d’installation remplies de chrome minier.

« La police les a ensuite arrêtés sur les lieux alors qu’ils étaient apparemment occupés à charger du chrome dans un camion », a ajouté Selvy Mohlala.

Ils sont également soupçonnés d’avoir volé et fait passer en contrebande du chrome dans des trains entre Ferro Metals Witbank et Richards Bay dans le KwaZulu-Natal, et le chrome aurait été transporté dans des camions jusqu’au Gauteng où il a ensuite été vendu à certaines personnes.

Ils font face à des accusations qui incluent la possession illégale de chrome minier.

« La police travaille en partenariat avec le ministère de l’Intérieur pour déterminer le statut de la femme et aussi pour savoir comment elle a mis la main sur le document d’identité », a-t-il poursuivi.

Les dix autres sont accusés d’avoir enfreint la loi sur l’immigration de l’Afrique du Sud.

La police de Mpumalanga dit qu’elle s’attend à procéder à d’autres arrestations.

Cela vient après onze suspects mineurs illégaux ont été arrêtés, et un suspect mortellement blessé, après une fusillade à Ekurkhuleni en février.

La police a reçu une plainte concernant une personne qui avait été abattue dans un champ ouvert à Boksburg.

À leur arrivée, ils ont vu un groupe de mineurs illégaux présumés. D’autres policiers de Boksburg North, de l’équipe opérationnelle du trio Ekurhuleni, de la patrouille routière et des sociétés de sécurité privées ont été convoqués.

Il a été allégué que lorsque les unités de police ont commencé à s’approcher des suspects et que le groupe armé a commencé à tirer des coups de feu sur la police, une fusillade s’en est suivie, et un suspect a été mortellement blessé.


Rate this post
Publicité
Article précédentLe PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, sceptique à l’égard de la cryptographie, mais dit que « tout n’est pas mauvais » – Actualités Bitcoin en vedette
Article suivantConstruire un métaverse conscient | VentureBeat
Avatar
Violette Laurent est une blogueuse tech nantaise diplômée en communication de masse et douée pour l'écriture. Elle est la rédactrice en chef de fr.techtribune.net. Les sujets de prédilection de Violette sont la technologie et la cryptographie. Elle est également une grande fan d'Anime et de Manga.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici