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25 mars (Reuters) – La société de médias néo-zélandaise NZME (NZM. NZ) a annoncé vendredi avoir signé une lettre d’intention avec Google pour définir les conditions de diffusion de contenu d’actualité, alors que les éditeurs du pays s’attaquent aux plateformes numériques pour un paiement équitable des informations affichées sur leurs sites.
NZME, propriétaire du New Zealand Herald, a également déclaré qu’il était en discussion avec Meta Platforms, la société mère de Facebook. (FB. O) sur divers projets numériques pour l’année prochaine.
L’association des éditeurs de nouvelles de Nouvelle-Zélande avait demandé l’autorisation de négocier collectivement avec Meta Platforms et Alphabet Inc. (GOOGL. O) Unité Google pour des paiements équitables, mais NZME a choisi de s’engager directement avec les géants de la technologie.
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NZME entrera dans une période de négociation de 90 jours avec Google pour finaliser les conditions clés de la fourniture proposée de son contenu d’actualités à La vitrine d’actualités de Google et à d’autres produits d’actualité, a-t-il annoncé vendredi.
L’accord final devait être d’une durée minimale de cinq ans.
Le portefeuille de la société comprend plusieurs journaux régionaux, ainsi que des chaînes de radio et des sites Web en ligne.
NZME a également déclaré qu’il s’attendait à des bénéfices de base pour 2022 compris entre 67 millions de dollars néo-zélandais (46,63 millions de dollars) et 72 millions de dollars néo-zélandais, s’il finalisait l’accord avec Google à la fin de la période de négociation.
(1 $ = 1,4368 dollar néo-zélandais)
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Reportage de Riya Sharma; Édité par Devika Syamnath
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