Le logo de Google LLC est visible au Google Store Chelsea à Manhattan, New York, États-Unis, le 17 novembre 2021. REUTERS/Andrew Kelly/Photo d’archives

BRUXELLES, 4 août (Reuters) – Les régulateurs antitrust de l’UE ont demandé aux développeurs d’applications si Alphabet (GOOGL. O) La menace de Google de supprimer les applications de son Play Store si elles utilisent d’autres options de paiement au lieu de son propre système de facturation a nui à leur entreprise, ont déclaré à Reuters deux personnes proches du dossier.

Les critiques disent que les frais facturés par Google et Apple (AAPL. O) dans leurs magasins d’applications mobiles sont excessifs et coûtent collectivement aux développeurs des milliards de dollars par an, signe du pouvoir monopolistique des deux sociétés.

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Des questionnaires ont été envoyés aux développeurs le mois dernier, ont déclaré les personnes.

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Sur les 16 questions du document, certaines couvraient la période 2017-2021 et d’autres 2019-2021. La Commission européenne a refusé de commenter. Google n’a pas répondu à une demande de commentaire envoyée par e-mail.

Le géant américain de la technologie a déclaré que les applications seraient supprimées de son magasin d’applications à partir de juin de cette année si les développeurs n’utilisaient pas son système de facturation.

On a demandé aux répondants si le changement de politique de Google cette année avait un impact sur la distribution de leurs biens ou services sur Google Play Store, quelles applications étaient affectées et si cela affectait leur capacité à acquérir des utilisateurs sur des appareils Android, ont déclaré les personnes.

Les régulateurs voulaient savoir si le changement avait forcé les développeurs à abandonner d’autres options de paiement en faveur de Google Billing et si la migration des utilisateurs vers une autre option de paiement affectait le nombre d’utilisateurs préexistants et l’accès des développeurs aux données.

On a demandé aux développeurs s’ils pensaient pouvoir offrir un meilleur service ou produit s’ils avaient l’option d’un autre système de paiement.

L’autorité chargée de la concurrence de l’UE voulait également savoir si Google leur permettait d’utiliser un système de paiement alternatif, facturait des frais de service pour cela ou se plaignait de la sécurité de leur mode de paiement.

On a demandé aux développeurs d’applications si le géant américain des paiements Stripes, le système de paiement néerlandais Adyen (ADYEN.AS) et PayPal (PYPL. O) Unité Braintree sont considérés comme des systèmes de paiement alternatifs.

Le mois dernier, Google a déclaré que les développeurs d’applications non liées au jeu pouvaient passer à des systèmes de paiement rivaux avec des frais inférieurs de 12% au lieu de 15%, cette décision s’appliquant aux utilisateurs européens, afin de se conformer aux règles de l’UE qui entreront en vigueur l’année prochaine. lire la suite

Politico a d’abord rendu compte de la question de la Commission.

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Reportage de Foo Yun Chee; Édité par Kirsten Donovan

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Violette Laurent est une blogueuse tech nantaise diplômée en communication de masse et douée pour l'écriture. Elle est la rédactrice en chef de fr.techtribune.net. Les sujets de prédilection de Violette sont la technologie et la cryptographie. Elle est également une grande fan d'Anime et de Manga.

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