Les fondateurs de start-up en Inde ont contacté la Commission de la concurrence de l’Inde (CCI) pour définir ce qu’ils pensent être des politiques anticoncurrentielles employées par Google en Inde.
Leur préoccupation est l’imposition récente du système de facturation Play Store de Google aux développeurs indiens, où une commission de 30% est facturée pour la vente de biens et services numériques.
Les téléphones dotés du système d’exploitation Android (OS) de Google sont préchargés avec la plate-forme de distribution d’applications Play Store, ce qui lui confère un avantage inhérent sur ses concurrents.
S’adressant à Mitali Mukherjee, le fondateur de Medianama, Nikhil Pahwa, a déclaré que ce n’était pas la première fois que Google était appelé à des pratiques monopolistiques et qu’il était peut-être temps pour les pays individuels d’examiner de plus près les problèmes liés à l’influence que les géants de la technologie pourraient exercer sur les individus et les utilisateurs. .
Il a également déclaré qu’il pensait qu’il y aurait beaucoup plus de plaintes à ce sujet et que des questions concernant les méfaits de la domination et l’arbitraire dans les actions de Google se poseraient.
Pahwa a déclaré qu’il y avait maintenant un avènement du «nationalisme technologique» en Inde, où les fondateurs étaient désormais plus déterminés à repousser les acteurs dominants; le fort sentiment de nationalisme au sein de l’industrie technologique indienne peut donner lieu à une structure plus organisée pour les start-ups indiennes et à faire campagne pour des changements similaires à ce qui a été vu dans le cas de Tik-Tok en Amérique, où l’enregistrement et l’inscription en Inde devraient être rendu obligatoire.
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