Alphabet (NASDAQ: GOOG)(NASDAQ: GOOGL) tente de faire la part belle aux régulateurs européens.
Lundi, les États-Unis technologie géant a promis de ne pas exploiter les données de fitness et de santé générées par Fitbit (NYSE: FIT) pour cibler la publicité. L’unité Google d’Alphabet a signé un accord pour acheter la société de technologie du fitness en novembre dernier dans le cadre d’un accord qui fait la une évalué à environ 2,1 milliards de dollars. L’approbation de l’Union européenne (UE) est l’obstacle réglementaire le plus important encore devant l’accord.
Alphabet a dû faire face à des préoccupations croissantes concernant la protection des consommateurs concernant les données. Ceci est particulièrement aigu en Europe, qui a tendance à être plus sensible et prudent sur ces questions.
« Cet accord concerne les appareils, pas les données », a écrit Alphabet dans un communiqué publié lundi, réitérant les arguments qu’il avait avancés précédemment. « Nous apprécions l’opportunité de travailler avec la Commission européenne sur une approche qui protège les attentes des consommateurs que les données des appareils Fitbit ne seront pas utilisées à des fins publicitaires. »
Lundi était la date limite pour que l’entreprise offre des concessions à la Commission européenne (CE), qui, entre autres pouvoirs, joue le rôle de régulateur de la vie privée et de la concurrence pour l’UE. La CE doit approuver l’accord Google / Fitbit pour qu’il puisse être conclu. La semaine dernière, Reuters a annoncé que la CE s’attendait à ce que la société fournir des concessions afin de dissiper ces problèmes de confidentialité.
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