90000 employés de Google viennent de recevoir l’accès à des tests COVID hebdomadaires gratuits. le le journal Wall Street a d’abord rapporté la nouvelle que chaque employé de Google aux États-Unis (et ses filiales, y compris YouTube) pourra s’inscrire à un test gratuit à domicile. Cela diffère des autres entreprises, comme Amazon, qui n’offrent des tests qu’aux employés qui doivent encore travailler dans un lieu physique, comme un magasin ou un entrepôt.

C’est apparemment quelque chose qui intéresse les employés de Google, car le site Web du fournisseur s’est écrasé après sa mise en ligne. Les employés sont promis qu’ils recevront le test dans les deux à quatre jours suivant la demande d’un, et qu’ils obtiendront les résultats dans les deux jours suivant la réception par le laboratoire.

Selon le le journal Wall Street rapport, Google paie à son partenaire, BioIQ, 50 $ par test. Cela revient à 4,5 millions de dollars par semaine multiplié par 90 000 employés.

Bien entendu, le chiffre de 4,5 millions de dollars suppose que chaque employé profite de l’offre, bien qu’un porte-parole de Google ait déclaré que l’entreprise recommandait de le faire. C’est également un coût très faible par rapport aux marges bénéficiaires de Google.

Le porte-parole de Google a également déclaré Le bord que les stagiaires seront également éligibles au programme et qu’il devrait s’étendre aux employés internationaux en 2021. L’entreprise espère que les tests permettront de réduire le nombre de épandeurs asymptomatiques si l’un de ses employés devenait infecté.

Publicité

Aux premiers jours de la pandémie, Le président Trump a affirmé que Google créerait un site Web et un système national pour accéder aux tests COVID. Ce n’était pas vrai, bien qu’une division Alphabet ait brièvement proposé des tests dans certaines régions. Google a fait d’autres travaux pour le public, comme la création d’un système de recherche des contacts avec Apple et l’amélioration des informations qu’il affiche sur ses résultats de recherche.

Correction: La version originale de cette histoire disait que c’était un site Google qui s’était écrasé sous la charge. C’était le site de BioIQ. Nous regrettons les erreurs.

Rate this post
Publicité
Article précédentDiablo Immortal entre dans les tests alpha
Article suivantF1 ESPORTS: Opmeer couronné champion des pilotes alors que Red Bull défend le titre des équipes
Avatar
Violette Laurent est une blogueuse tech nantaise diplômée en communication de masse et douée pour l'écriture. Elle est la rédactrice en chef de fr.techtribune.net. Les sujets de prédilection de Violette sont la technologie et la cryptographie. Elle est également une grande fan d'Anime et de Manga.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici