Bonjour à tous ! Joyeux dimanche CIPA dimanche 😊, c’est-à-dire. C’est la baronne ici. Je sais que cela fait un certain temps que je n’ai pas bloggué, mais je suis de retour avec de bonnes choses.

Plongeons-y.

Google a récemment fait face à un procès dans le district nord de la Californie, intenté par les plaignants Marie Hammerling et Kay Jackson, qui ont allégué plusieurs réclamations contre la société, y compris une réclamation en vertu de la loi californienne sur l’invasion de la vie privée (CIPA). Le tribunal a accueilli la requête de Google visant à rejeter la réclamation CIPA, ce qui est une excellente nouvelle pour le géant de la technologie et l’industrie technologique au sens large. Hammerling c. Google SARL, no 21-CV-09004-CRB, 2022 WL 17365255, à *1 (N.D. Cal. 1er décembre 2022).

CIPA est une loi de l’État de Californie qui régit l’interception et la divulgation des communications filaires, électroniques ou orales. Dans cette affaire, les demandeurs ont affirmé que Google avait intercepté et divulgué leurs données personnelles en utilisant des applications tierces en violation de la CIPA. Cependant, le tribunal a conclu que les demandeurs n’avaient pas présenté de réclamation CIPA contre Google parce que les interceptions et la divulgation présumées n’avaient pas été interceptées pendant leur « transit » et n’avaient pas eu lieu en Californie.

Premièrement, Google a fait valoir qu’elle était en droit de rejeter la demande de CIPA parce que les demandeurs n’avaient pas plaidé de manière plausible que le contenu avait été intercepté pendant qu’il était « en transit ». Les plaignants ont seulement allégué que Google avait recueilli des « données en temps réel » sur leur utilisation d’applications tierces. Mais, le tribunal a conclu que « les données en temps réel n’ont pas besoin d’être collectées en temps réel, et les plaignants n’allèguent pas de manière plausible un mécanisme qui permettrait à Google de le faire ».

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Deuxièmement, Google a fait valoir qu’elle était en droit de rejeter la demande de CIPA parce que l’interception et la communication alléguées ont eu lieu à l’extérieur de la Californie, où la CIPA ne s’applique pas. Le tribunal a donné raison à Google, déclarant que la CIPA ne s’applique qu’aux interceptions et aux divulgations qui se produisent en Californie. De plus, la Cour a déclaré : «[t]le fait que les demandeurs sont des résidents hors de l’État ou que la loi californienne s’applique, [], n’a aucune incidence sur la question de savoir si l’interception en cause a eu lieu en Californie. Étant donné que les demandeurs n’ont pas alléguer que l’interception et la divulgation ont eu lieu en Californie, le tribunal a conclu qu’il avait omis de présenter une réclamation en vertu de la CIPA.

Cette décision est une victoire pour Google et l’industrie de la technologie dans son ensemble, car elle limite la responsabilité potentielle des entreprises de technologie en ce qui concerne les réclamations en matière de confidentialité. En outre, cette décision fournit des orientations aux entreprises de technologie confrontées à des réclamations similaires à l’avenir.

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Violette Laurent est une blogueuse tech nantaise diplômée en communication de masse et douée pour l'écriture. Elle est la rédactrice en chef de fr.techtribune.net. Les sujets de prédilection de Violette sont la technologie et la cryptographie. Elle est également une grande fan d'Anime et de Manga.

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