Des géants de la technologie tels que Google et Facebook seront tenus de payer les journaux et autres médias pour l’utilisation de leurs articles, en vertu de nouvelles lois en cours d’élaboration par le Royaume-Uni Gouvernement, a rapporté le Daily Mail.
Selon les plans, qui sont calqués sur un système qui a été introduit en Australie, les plateformes seront encouragées à négocier des accords de paiement avec les organes de presse. Si les négociations échouent, un arbitre indépendant fixera un prix équitable, indique le rapport.
Le déménagement, motivé par Royaume-Uni La secrétaire à la Culture, Nadine Dorries, intervient au milieu des inquiétudes croissantes selon lesquelles les entreprises technologiques dominent la publicité en ligne, au détriment des consommateurs et des entreprises.
Le nouveau régime sera réglementé par l’Unité des marchés numériques (DMU), l’organisme de surveillance numérique qui a été mis en place au sein de la Royaume-Uni L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) pour freiner le pouvoir des plateformes technologiques, selon le rapport.
L’unité étudiera également les algorithmes utilisés par les moteurs de recherche tels que Google, qui, selon de nombreux organes de presse, sont manipulés pour orienter de manière disproportionnée les demandes de recherche vers les organes de presse de gauche, et filtrer la façon dont les gens lisent et accèdent aux informations, au détriment de la qualité, payée. -pour le journalisme, a rapporté Daily Mail.
Une source du ministère britannique du numérique, de la culture, des médias et des sports a déclaré que le régime prévu était « pro-concurrence » et « soutient la durabilité de la presse ». La source a déclaré: « Le nouveau régime sera un moyen important de lutter contre le déséquilibre des pouvoirs entre les plus grandes plateformes et les éditeurs.
Les mesures donneraient aux éditeurs une plus grande transparence sur les algorithmes qui génèrent du trafic et des revenus, plus de contrôle sur la présentation et l’image de marque de leur contenu, ainsi qu’un meilleur accès aux données sur la façon dont les utilisateurs interagissent avec leur contenu.
–IANS
san/skp/
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