BENGALURU : Google a déclaré avoir reçu un total de 27 762 plaintes en avril d’utilisateurs individuels en Inde contenu sur sa plate-forme, et supprimé 59 350 articles. La divulgation a été faite dans le cadre de son premier rapport mensuel de transparence, une exigence en vertu des nouvelles règles informatiques de l’Inde qui sont entrées en vigueur à partir de mai.
La plupart des plaintes concernaient des infractions au droit d’auteur (96 %), les autres étant des marques (1,3 %), de la diffamation (1 %) et d’autres problèmes juridiques (1 %).
Les plaintes du gouvernement n’en font pas partie. La société a déclaré qu’elle publiait les demandes gouvernementales de suppression de contenu sur une base semestrielle dans son rapport de transparence existant.
« Pour laisser suffisamment de temps au traitement et à la validation des données, il y aura un décalage de deux mois pour le reporting. Dans les futurs rapports, les données sur les suppressions résultant de la détection automatisée, ainsi que les données relatives aux plaintes pour usurpation d’identité et pour contenu sexuel graphique reçues après le 25 mai 2021, seront incluses. Nous nous engageons à apporter des améliorations dans les prochaines itérations du rapport sur la base des commentaires de toutes les parties prenantes, notamment en fournissant des données plus granulaires », a déclaré Google.
Les nouvelles règles informatiques demandent aux principaux intermédiaires de médias sociaux (SSMI) de « publier chaque mois un rapport de conformité périodique mentionnant les détails des plaintes reçues et les mesures prises à leur sujet, ainsi que le nombre de liens de communication spécifiques ou de parties d’informations que l’intermédiaire a supprimé ou désactivé l’accès dans le cadre de toute surveillance proactive effectuée à l’aide d’outils automatisés ou de toute autre information pertinente pouvant être spécifiée.
La plupart des plaintes concernaient des infractions au droit d’auteur (96 %), les autres étant des marques (1,3 %), de la diffamation (1 %) et d’autres problèmes juridiques (1 %).
Les plaintes du gouvernement n’en font pas partie. La société a déclaré qu’elle publiait les demandes gouvernementales de suppression de contenu sur une base semestrielle dans son rapport de transparence existant.
« Pour laisser suffisamment de temps au traitement et à la validation des données, il y aura un décalage de deux mois pour le reporting. Dans les futurs rapports, les données sur les suppressions résultant de la détection automatisée, ainsi que les données relatives aux plaintes pour usurpation d’identité et pour contenu sexuel graphique reçues après le 25 mai 2021, seront incluses. Nous nous engageons à apporter des améliorations dans les prochaines itérations du rapport sur la base des commentaires de toutes les parties prenantes, notamment en fournissant des données plus granulaires », a déclaré Google.
Les nouvelles règles informatiques demandent aux principaux intermédiaires de médias sociaux (SSMI) de « publier chaque mois un rapport de conformité périodique mentionnant les détails des plaintes reçues et les mesures prises à leur sujet, ainsi que le nombre de liens de communication spécifiques ou de parties d’informations que l’intermédiaire a supprimé ou désactivé l’accès dans le cadre de toute surveillance proactive effectuée à l’aide d’outils automatisés ou de toute autre information pertinente pouvant être spécifiée.
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