Les nouvelles lignes directrices pour les intermédiaires numériques ne manqueront pas d’augmenter les coûts de conformité pour les réseaux sociaux et les plateformes OTT, qui ont tous deux d’énormes enjeux dans l’industrie Internet indienne.

L’Indian Newspaper Society a écrit à Google, demandant au grand géant de la technologie de payer au moins 85% des revenus publicitaires sur le contenu d’actualités, à leurs éditeurs.

La semaine a également vu le Advertising Standards Council of India publier un ensemble de projets de lignes directrices pour la publicité d’influence sur les médias numériques.

Cette semaine, le gouvernement indien a publié un ensemble complet de lignes directrices pour tous les intermédiaires numériques, à savoir les portails d’information, les médias sociaux et les plateformes OTT. Visiblement censé contenir la menace des fausses nouvelles, les directives semblent avoir fait plus de mal que de bien, comme l’ont souligné divers experts, le gouvernement disposera désormais de pouvoirs extraordinaires pour surveiller tous les contenus sur les réseaux sociaux et les plateformes OTT.

Des intermédiaires importants des médias sociaux – Twitter, Facebook, YouTube, Whatsapp, etc. – devant révéler le premier créateur de toute information aux plates-formes OTT soumises à un mécanisme de surveillance à trois niveaux, les directives sont considérées comme un moyen d’étouffer la dissidence. et surveillez toutes les communications sur Internet.

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Ces directives ne manqueront pas d’augmenter les coûts de mise en conformité pour les réseaux sociaux et les plateformes OTT, qui ont tous deux des enjeux énormes dans l’industrie indienne de l’Internet.

Du côté positif, cette semaine, l’Indian Newspaper Society (INS) a écrit à Google: demander au grand géant de la technologie de payer au moins 85% des revenus publicitaires sur les contenus d’actualité, revenons à leurs éditeurs.

Le président de l’INS, L Adimoolam, dans une lettre adressée au directeur national de Google Inde, Sanjay Gupta, a exigé que le grand géant de la technologie paie pour les nouvelles générées, car les journaux emploient des milliers de journalistes sur le terrain, à des frais considérables, pour collecter et vérifier les informations.

Cette semaine, le Parlement australien a adopté le «Code de négociation obligatoire pour les médias d’information et les plates-formes numériques» qui oblige les entreprises telles que Google et Facebook, dont la principale source de revenus est la publicité, à payer les éditeurs locaux pour le contenu des nouvelles. Pourrait-on voir un arrangement similaire en Inde? Pas sans que le gouvernement ait abordé la question avec Google.

La semaine a également vu le Advertising Standards Council of India (ASCI), l’organisation volontaire d’autorégulation du pays pour la publicité, publier un ensemble de projets de directives pour la publicité d’influence sur les médias numériques.

Le projet de directives exige que les publications publicitaires des influenceurs incluent une forme de divulgation autorisée telle que #ad, #collab, #promo, #sponsored et / ou #partnership, soit dans les deux premières lignes de la description de la publication sur les plateformes de médias sociaux, soit si il n’y a pas de description, alors la divulgation doit être superposée à la photo ou à la vidéo de l’annonce.

Dans le cas d’un contenu audio sans description, la divulgation doit être clairement annoncée au début et à la fin du contenu audio.

Les influenceurs des médias sociaux sont également tenus de faire preuve de diligence raisonnable concernant toute réclamation technique faite par eux dans la publicité. La preuve de la diligence raisonnable inclurait une correspondance avec l’annonceur ou le propriétaire de la marque confirmant que l’allégation spécifique faite dans la publicité est susceptible de justification scientifique.

Des instructions plus détaillées concernant la durée pendant laquelle la divulgation doit être visible sur la publicité sur les réseaux sociaux, et plus des 10 directives, peuvent être trouvées ici.

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  1. Licornes de démarrage indiennes Paytm et Ola auraient ligoté avec IndusInd Bank pour demander à la Reserve Bank of India (RBI) une licence de nouvelle entité parapluie (NUE).
  2. Vendeur d’épicerie en ligne soutenu par SoftBank Grofers devrait lever entre 400 et 500 millions de dollars grâce à une cotation publique sur le Nasdaq en fusionnant avec la société de chèques en blanc de Cantor Fitzgerald, basée à New York.
  3. La State Bank of India (SBI) a lié à la banque américaine JP Morgan pour avoir utilisé la technologie blockchain de ce dernier pour accélérer les transactions à l’étranger.
  4. La Cour suprême de l’Inde, lundi, a annulé une décision de la Haute Cour de Delhi et a effectivement mis un terme à la vente de Future Retail à Reliance Retail. La commande est venue en réponse à l’appel du géant américain du commerce électronique Amazon pour mettre fin à l’accord. Amazon a affirmé que l’accord Reliance-Future constituerait une violation du contrat qu’il a conclu avec Future Group.
  5. Le ministère des Affaires commerciales a précisé que les entreprises technologiques indiennes qui choisissent de s’inscrire sur les bourses étrangères ne seraient pas considérées comme des sociétés cotées en Inde.

Restez à l’écoute pour le tour d’horizon de la semaine prochaine!


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Violette Laurent est une blogueuse tech nantaise diplômée en communication de masse et douée pour l'écriture. Elle est la rédactrice en chef de fr.techtribune.net. Les sujets de prédilection de Violette sont la technologie et la cryptographie. Elle est également une grande fan d'Anime et de Manga.

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