RedMagic a lancé une nouvelle manette de jeu. Ceci est conçu pour simplifier le contrôle des jeux vidéo sur les smartphones et offre de nombreuses options de saisie.
Le fabricant Nubia a également créé une marque RedMagic, sous laquelle les deux smartphones de jeu et les accessoires correspondants pour les joueurs vidéo sont proposés. La gamme de produits ne se limite pas strictement aux jeux mobiles mais comprend également, par exemple, des moniteurs ou des périphériques d’entrée. La disponibilité en Allemagne est limitée et du moins pas toujours permanente.
Avec le Shadow Blade 2, la société présente une nouvelle manette de jeu. Ceci s’adresse aux utilisateurs qui ont tendance à profiter de jeux vidéo plutôt exigeants sur un smartphone et qui souhaitent également les utiliser de manière appropriée – les smartphones offrent désormais suffisamment de performances pour les jeux vidéo exigeants.
Le Shadow Blade 2 est un contrôleur avec un design assez conventionnel. Fondamentalement, un smartphone est inséré dans le contrôleur, qui est ensuite connecté au contrôleur. Dans ce cas, la connexion se fait via USB Type-C, ce qui garantit une faible latence et permet à Shadow Blade 2 de fonctionner sans batterie. Le contrôleur dispose également d’une sortie jack 3,5 millimètres.
Comme c’est désormais tout à fait courant, le contrôleur comprend deux sticks analogiques, un pavé directionnel et des boutons d’action. Des capteurs à effet Hall sont utilisés. Il y a quatre boutons sur les épaules et deux boutons supplémentaires au dos. En principe, les jeux triple-A peuvent également être contrôlés via le streaming, par exemple. Le contrôleur peut être commandé en Chine pour l’équivalent d’environ 77 euros, mais il n’y a pas encore d’informations sur le prix ou la disponibilité en Europe.
Je suis actif en tant que journaliste depuis plus de 10 ans, la plupart dans le domaine de la technologie. J’ai travaillé entre autres pour Tom’s Hardware et ComputerBase, ainsi que pour Notebookcheck depuis 2017. Je me concentre actuellement particulièrement sur les mini PC et les ordinateurs monocarte comme le Raspberry Pi, c’est-à-dire les systèmes compacts avec beaucoup de potentiel. De plus, j’ai un faible pour toutes sortes de wearables, notamment les montres intelligentes. Mon métier principal est celui d’ingénieur de laboratoire, c’est pourquoi ni les contextes scientifiques ni l’interprétation de mesures complexes ne me sont étrangers.
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