Le jeu d’action-aventure épique « God of War : Ragnarok » (Sony Interactive Entertainment) est en quelque sorte un sac mélangé. D’une part, il regorge de narrations dramatiques, d’environnements riches et d’énigmes astucieuses.

Les chaos fréquents et les vues potentiellement dérangeantes en font cependant un choix inapproprié pour les enfants. Les adultes, en revanche, apprécieront de se plonger dans la saga exaltante proposée dans ce 10e opus d’une franchise qui remonte à 2005.

Se déroulant trois ans après les événements de son prédécesseur de 2018, l’intrigue de cet épisode se concentre sur deux personnages de retour : l’équipe père-fils de Kratos (voix de Christopher Judge) et Atreus (voix de Sunny Suljic). Au début de l’intrigue, ils ont survécu à l’hiver glacial qui annonce la bataille de Ragnarok, un conflit capital prédit dans la mythologie nordique.

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Il s’agit d’une image du jeu vidéo « God of War : Ragnarok ». La classification OSV News est A-III – adultes. La note du Entertainment Software Rating Board est M – Mature. (Photo d’actualités OSV/Sony Interactive Entertainment)

Jusqu’ici, tout va bien. Mais le duo est pourchassé par la déesse Freya (voix de Danielle Bisutti) qui cherche à se venger de Kratos pour avoir tué son fils, Baldur. De son côté, Atreus cherche un moyen de libérer l’ancien dieu de la guerre emprisonné, Tyr (voix de Ben Prendergast), qui a renoncé à son pouvoir après un éveil spirituel.

Atreus espère que Tyr pourra faire la lumière sur ses propres pouvoirs magiques nouvellement acquis. Mais ses efforts pour libérer Tyr se heurtent à l’opposition des ravisseurs de ce dernier, Thor (voix de Ryan Hurst) et Odin (voix de Richard Schiff).

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Dans une amélioration par rapport au chapitre précédent, les neuf royaumes de la mythologie nordique peuvent désormais être explorés. Chacun constitue un environnement unique et magnifique.

Bien que le récit de la série actuelle soit enraciné dans le paganisme, les « dieux » rencontrés par les joueurs sont davantage les représentants d’une race mythique que des divinités à vénérer. Néanmoins, même si l’histoire peut avoir une valeur éducative pour les joueurs plus âgés et bien catéchisés, les jeunes impressionnables devraient rester à l’écart.

Kratos et Atreus utilisent des armes de mêlée, des arcs et de la magie pour repousser leurs ennemis, parmi lesquels se trouvent des monstres ainsi que des adversaires humains. De plus, Atreus a la capacité de se transformer en ours ou en loup pour infliger davantage de dégâts. Les affrontements peuvent être assez violents et inclure des représentations de décapitation et de démembrement.

Malgré les conflits récurrents, « Ragnarok » ne glorifie pas la guerre, mais envoie plutôt le signal que le recours à la force n’est pas toujours la solution. Si les joueurs parviennent à trouver une solution meilleure et plus pacifique, ils sont encouragés à la poursuivre. Cela correspond à l’un des thèmes fondamentaux de l’histoire : la nécessité d’abandonner les blessures et les traumatismes du passé et de poursuivre sa vie.

Ainsi, alors que la rage de Kratos était elle-même une mécanique lors de la dernière sortie, il contrôle désormais sa colère, même lorsqu’il est attaqué par Freya. Il reconnaît que la tuer ne lui apportera pas la tranquillité. Kratos se rend également compte que la compassion d’Atreus est sa force – et non sa faiblesse, comme il le pensait autrefois.

Jouable sur PlayStation 4 et PlayStation 5.

Le jeu contient beaucoup de violence de combat avec des effets et des images sanglants, du contenu occulte et un langage grossier et grossier. La classification OSV News est A-III – adultes. La note du Entertainment Software Rating Board est M – Mature.

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