ZOM 100 est honnêtement comme une version intégrale du Je pense que tu devrais partir Croquis « Darmine Doggy Door » où Tim voit un monstre et est momentanément soulagé car il n’aura pas à se rendre au travail le lendemain. C’est une prémisse radicale, mais c’est assez comique pour ZOM 100 se concentrer sur quelqu’un qui déteste sa vie et qui n’a rien à perdre pendant la fin des temps. Ce premier épisode embrasse fortement les tropes de genre comme les rencontres maladroites d’une comédie romantique, seulement pour saper ces moments doux et optimistes avec une destruction totale.
Le ton rappelle celui d’Edgar Wright Shaun des morts à l’esprit, même si cela va dans des endroits beaucoup plus intenses et ridicules. En fait, certains des moments où Akira va et vient sans vie du travail sont presque directement tirés de Shaun des morts. Le film de Wright ne devrait pas détenir le monopole sur ce sujet, mais cela prend du temps pour ZOM 100 pour prouver que c’est juste plus que « Shaun des morts, mais animé. Le cœur de l’anime vient de la capacité d’Akira à enfin réaliser ses objectifs et à accomplir la valeur d’une liste de rêves.
La série a également beaucoup à offrir visuellement. Ce premier épisode utilise une astuce simple, mais efficace, dans laquelle la palette de couleurs est activement désactivée pendant le flashback prolongé qui se déroule au début du travail d’Akira. C’est un moyen efficace d’exprimer à quel point l’existence mécanique d’Akira est devenue terne et vidée de la vie. Cela le rend d’autant plus efficace lorsque des couleurs vibrantes envahissent enfin la réalité d’Akira lorsqu’il se rend compte qu’il est pris dans une apocalypse zombie et soudainement libéré de toutes ses responsabilités. C’est presque comme le moment où Le magicien d’Oz où Dorothy entre enfin dans un monde de couleurs.
C’est une décision inspirée de représenter ce carnage maximal à travers une lentille de couleur arc-en-ciel, comme si c’était le pire jeu de paintball au monde. C’est une touche stylistique simple, mais qui s’installe rapidement ZOM 100 en dehors des autres séries de zombies. La musique est également à la hauteur de l’occasion et ZOM 100c’estLa chanson thème d’ouverture, « Song of the Dead » de KANA-BOON (qui figure au générique de fin de cette première entrée), est un bang absolu et capture parfaitement l’énergie explosive et insouciante de l’anime.
ZOM 100 commence par un premier épisode réussi et engageant, quoique plutôt lent (même s’il couvre trois ans en 24 minutes). L’anime aurait peut-être mieux bénéficié d’une première en deux épisodes qui permet à l’histoire de vraiment bouger. Ou peut-être que « Akira of the Dead » aurait pu démarrer un peu plus loin dans le voyage d’Akira. Heureusement, ZOM 100 est supervisé par Hiroshi Seko, qui est responsable des scripts pour L’attaque des Titans, Jujutsu Kaisenet Mob Psycho 100. Seko apprécie la narration longue avec une gratification différée et toute inquiétude concernant le rythme de ce premier épisode devrait disparaître après les versements suivants.