L’industrie de l’anime s’est développée rapidement au cours des cinq dernières années et son rythme rapide a fini par lui donner une mauvaise réputation auprès des travailleurs. Des écarts de salaire à l’inégalité entre les sexes, les animateurs qui travaillent dans l’anime se sont davantage exprimés sur les abus qu’ils ont subis au travail. Et maintenant, une voix de vétéran s’exprime dans l’espoir de mettre fin à ce cycle d’abus.
La discussion est venue de Taiki Nishimura sur Twitter. C’est là que le réalisateur de l’épisode a clairement indiqué qu’il souhaitait voir un changement dans l’industrie et qu’il espère le faire avec la Guilde des réalisateurs du Japon.
弁 護士 の 方 に ア ニ メ 仕事 に 契約 書 が な い と 言 う と, み ん な 驚 く. セ ク ハ ラ, パ ワ ハ ラ, そ れ ら が 蔓延 す る ア ニ メ 業界 を, な ん と か 真 っ 当 な 業界 に す る 努力 を し た い. そ う す る と, 干 さ れ た り す る ん だ よ ね (苦笑) 映 画 監督 協会 な ど の 協力 を 得 て 、 是 正 し て い き た い。
– 西村 大樹 (@taiki_nishimura) 23 mai 2021
«Quand j’ai dit aux avocats que mon travail d’anime n’impliquait pas de contrat, ils ont tous été choqués. Je veux faire de mon mieux pour aider à redresser cette industrie qui est en proie au harcèlement sexuel et au harcèlement de pouvoir. être sans emploi (sourire maladroit). Je veux rectifier les problèmes avec l’aide de la Guilde des réalisateurs du Japon », a écrit Nishimura.
Pour ceux qui ne connaissent pas cette organisation, la Guilde des réalisateurs du Japon se concentre sur le plaidoyer de la part de ses membres. Le groupe met en commun ses ressources pour protéger les droits personnels et professionnels des administrateurs. Nishimura est membre de la guilde depuis un certain temps et il est une voix bien connue dans la communauté des anime. Après tout, il travaille comme animateur et réalisateur depuis plus de 20 ans.
Les fans d’anime connaîtront mieux Nishimura pour son travail sur Mobile Suit Gundam Seed ainsi que plusieurs autres séries moins connues. Il a supervisé les travaux sur Flotte de verre, grondement scolaire, et Valvrave le libérateur.
La déclaration de Nishimura ici n’est pas la première qu’il a faite pour souligner la nature abusive de l’industrie. En 2017, le réalisateur a choqué les fans du monde entier en disant que son revenu mensuel était de 900 USD pour chaque projet sur lequel il travaillait. Ce faible salaire a permis aux fans de mieux comprendre le nombre de concerts qu’un artiste doit travailler pour survivre au Japon, et comme vous l’avez peut-être deviné, les spectacles souffrent le plus souvent de cette division.
Que pensez-vous de la vision de ce directeur de l’industrie? Avez-vous déjà rêvé de travailler dans l’anime? Partagez vos réflexions avec nous dans la section commentaires ci-dessous ou contactez-moi sur Twitter @MeganPetersCB.
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