SINGAPOUR – Un jeune a agressé sexuellement son cousin de sept ans après avoir regardé un anime japonais sexuellement explicite – connu sous le nom de hentai – et a ensuite déclaré à la police qu’il avait commis le crime car il était accro à ces vidéos et mangas.

Le tribunal a appris que les deux partageaient une relation étroite en tant que cousins, et la fille, qui a neuf ans cette année, l’a appelé « grand frère ».

Le jeune Malaisien, aujourd’hui âgé de 20 ans, a plaidé coupable mercredi 18 mai à un chef d’accusation d’avoir utilisé la force criminelle sur la jeune fille en touchant ses organes génitaux par-dessus son pantalon.

Il a également admis l’avoir agressée deux fois de plus entre le 16 mars et le 27 juin 2020. Ces deux accusations seront prises en considération pour sa condamnation le 5 juillet de cette année.

Le nom de l’accusé ne peut être révélé en raison d’une ordonnance de bâillon visant à protéger l’identité de la victime.

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Le tribunal a appris que l’accusé avait déménagé de Malaisie à Singapour le 16 mars 2020 et vivait dans un appartement avec la victime et sa mère.

Le 27 juin de cette année-là, le trio se trouvait chez un ami lorsque la mère de la victime a vu sa fille regarder quelque chose sur la tablette de l’accusé alors qu’elle était assise sur ses genoux.

« Elle a pensé qu’ils avaient l’air de lui cacher quelque chose et a confronté l’accusé », a déclaré le procureur adjoint Sheldon Lim.

L’accusé a avoué avoir agressé sa cousine et la mère de la victime a porté plainte à la police.

Il a ensuite déclaré à la police qu’il se sentait coupable lorsqu’il avait touché la victime, mais qu’il avait continué à le faire en raison de sa dépendance au hentai.

Le juge de district Kessler Soh a demandé que l’accusé soit évalué pour une période de probation et une formation réformatrice avant le prononcé de la peine.

La probation est une peine de réadaptation communautaire qui oblige le délinquant à être supervisé par un agent de probation pendant une période comprise entre six mois et trois ans.

La formation réformatrice est une option de réhabilitation des peines pour les jeunes contrevenants âgés de moins de 21 ans jugés inaptes à la probation.

Un séjour au Centre de formation réformatrice dure entre six mois et 4 ans et demi.

Pour chaque chef d’accusation d’utilisation de la force criminelle sur une personne de moins de 14 ans, un contrevenant peut être emprisonné jusqu’à cinq ans, ou condamné à une amende, ou à la bastonnade, ou toute combinaison des trois.

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