L’adaptation animée de Ma vie d’Isekai a peut-être été et est parti, mais il y a encore beaucoup plus de cette série à espérer alors que Square Enix continue de publier l’adaptation manga en anglais. Alors que le protagoniste Yuji gravit les échelons de la guilde, quels défis l’attendent ? Découvrons-le!

Le volume 3 s’ouvre sur le village de Phastan attaqué par une horde de monstres en colère qui, selon Yuji, sont liés à la pierre magique maudite qu’il a trouvée lors d’une quête dans le volume 2. Naturellement, le village est mal préparé pour faire face à tant de de puissants ennemis à la fois, c’est donc à Yuji et à son groupe de slimes de défendre tout le monde du mal.

Heureusement, Yuji est victorieux contre les monstres mais maintenant il est considéré par les villageois comme un héros et cela rend difficile l’accomplissement des quêtes ! N’ayant pas d’autre choix, Yuji décide qu’il est enfin temps de laisser Phastan derrière lui et de partir vers une nouvelle destination ! Notre héros décide de se diriger vers la ville de Kilia, qui devrait offrir une plus grande variété de quêtes, grâce à sa taille plus grande que Phastan.

Lorsque Yuji arrive et s’inscrit à la guilde, le réceptionniste a immédiatement un travail en tête pour ses compétences. Yuji est invité à se joindre à une fête avec les aventuriers Rodis, Tina et Lisa, qui partent à la recherche d’un dragon de roche. Cela devrait être une tâche facile pour le groupe, mais rien ne se passe jamais comme prévu, et Yuji s’inquiète de plus en plus pour le groupe lorsqu’il apprend que Rodis a une mauvaise réputation dans la ville…

Outre les slimes et Proudwolf (un loup monstre apprivoisé dans le volume 2), Yuji ne s’est jamais associé à personne auparavant, il est donc déjà sur ses gardes à propos des humains avec lesquels il fait équipe. Yuji étant si préparé à une trahison s’avère utile lorsque Rodis trahit effectivement le groupe lors de leur première nuit ensemble, se faisant passer pour un membre d’un groupe de bandits local ! Maintenant, si seulement c’était la seule chose dont Yuji devait s’inquiéter dans cette quête…

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Par rapport aux deux premiers volumes de Ma vie d’Isekai, Le tome 3 offre beaucoup plus de variété en termes de décor et de personnages. Maintenant que Yuji a laissé Phastan derrière lui, il rencontre plus de nouvelles personnes et de monstres qu’auparavant. De plus, on a maintenant l’impression qu’il y a plus d’histoire globale alors que Yuji se retrouve absorbé par ce qui pourrait être une future calamité.

Les illustrations continuent de s’améliorer tout au long de cette version, ce qui est formidable, étant donné le nombre de scènes d’action cette fois-ci. C’est aussi amusant de regarder les bouffonneries des slimes de Yuji, qui peuvent souvent être trouvés en train de faire des expressions idiotes ou de ne rien faire de bon en arrière-plan ! Je ne vais pas dire que c’est la meilleure œuvre d’art, mais je suis toujours heureux de la voir s’améliorer au fur et à mesure. Surtout étant donné qu’il y a 17 volumes et qu’ils comptent, donc si vous appréciez celui-ci, vous êtes prêt pour le long terme.

Ma vie d’Isekai Le volume 3 arrive en Occident grâce à Square Enix Manga et continue d’être traduit par David Evelyn avec des lettres de Brandon Bovia. La traduction et le lettrage se lisent bien sans aucun problème à mentionner. Le volume 4 de la série est actuellement prévu pour une sortie en anglais début décembre, donc pas trop longtemps pour attendre la suite des aventures de Yuji.

Globalement, Ma vie d’Isekai Le tome 3 nous offre un dépaysement total et place Yuji dans de nouvelles situations intéressantes. Il n’y a toujours rien de particulièrement unique dans cette série, mais il est indéniablement amusant de regarder les combats dans lesquels notre protagoniste et ses compagnons visqueux se retrouvent enveloppés.

Un aperçu gratuit de ce volume est disponible sur le Site Web de Square Enix ici.

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Berthe Lefurgey
Berthe Lefurgey est une journaliste chevronnée, passionnée par la technologie et l'innovation, qui fait actuellement ses armes en tant que rédactrice de premier plan pour TechTribune France. Avec une carrière de plus de dix ans dans le monde du journalisme technologique, Berthe s'est imposée comme une voix de confiance dans l'industrie. Pour en savoir plus sur elle, cliquez ici. Pour la contacter cliquez ici

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